BREVETS SE RATTACHANT AUX CHEMTRAILS
Les brevets se rattachant aux Chemtrails
http://changementclimatique.over-blog.com/article-20305226.html
http://incroyables-verites.over-blog.com/article-19441612.html

Procédé et appareil pour la production de nuage, brume ou brouillard artificiel intense.
“La présente invention rend possible la production de brouillard artificiel très opaque en effectuant la vaporisation de chlorides anhydrés, tels que le chloride de titanium ou le chloride stanique, ou un autre corps semblable, dans une atmosphère humide et amonaquifié.”
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Procédé pour produire des nuages de fumée à partir d’un avion en mouvement.
“Entre autre objet de cette invention est la possibilité d’un procédé où des liquides fumigènes peuvent êtres relâchés d’un avion, et où le liquide réagit avec un ou plusieurs des constituants de l’air ou l’atmosphère et génère un écran de fumée en tombant.”
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Procédé pour contrôler le climat.
“Cette invention relate un procédé pour effectuer des changements dans les conditions météorologiques et plus spécifiquement à un processus pour dissiper les nuages et le brouillard en nettoyant l’atmosphère de particules d’humidité qui sont assez grosses pour être visibles, mais pas encore assez grosses pour retomber de leur suspension dans les gaz de l’atmosphère.”
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Appareil de dissémination de matériel pour les avions.
“Cette invention se rapporte à un appareil pour disséminer des matériaux finement divisés ou en poudre à partir d’avions, tel que communément connu et pratiqué dans l’art de l’arrosage des champs.”
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Méthode de dispersion des nuages et brouillards atmosphériques naturels.
“La présente invention se rapporte au contrôle du climat et plus particulièrement à une méthode de dispersion des nuages et brouillards atmosphérique, aussi bien que la provocation de précipitations.”
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Moyen de communiquer à travers une couche de gaz ionisés.
“Cette invention se rapporte généralement à la modulation des oscillations électromagnétiques et plus particulièrement concerne une méthode et un appareillage pour communiquer à travers une couche de gaz ionisés.”
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Appareil d’ensemencement de nuages.
“La présente invention se rapporte en général à un appareil d’ensemencement de nuages et plus particulièrement à un outil aéroporté d’ensemencement de nuages adapté à la production de cristaux d’iodes d’argent de type gamma à être dispersés dans les nuages pour induire la pluie.”
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Nuage artificiel d’ions.
“Appareil et méthode pour produire dans la couche d’ozone un nuage artificiel d’ions ayant une densité d’électron suffisante pour refléter les ondes électromagnétiques. Des microsphères d’hydride de lithium, hydride de sodium, lithium butyle, ou césium éthyle sont relâchés par un bec verseur (nozzle) installé sur un véhicule traversant la stratosphère.”
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Contrôle des particules atmosphériques.
“Un procédé pour produire la coalescence et la précipitation des particules suspendues dans l’atmosphère tel brouillard, fumée, nuages, et autres en contactant de tels atmosphères saturées avec une polyélectrode sous forme de fines particules. La polyélectrode rompt l’équilibre électrique à l’intérieur de la masse de particules suspendues.”
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Système d’ensemencement de nuages.
“Un système d’ensemencement de nuages comprenant un véhicule fusée propulsante surmotorisée solide et un moyen de lancer le véhicule pour transporter les matériaux d’ensemencement de nuages vers les nuages pour augmenter les précipitations et/ou supprimer la formation de grêle.”
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Procédé de modification climatiques.
“Les produits de condensation des acides sulfoniques et des aldéhydes alipatiques de la naphtalène, ou furfureux, ou composés capables de relâcher de tels aldéhydes, sont efficaces pour influencer la température. ex: ils éliminent le brouillard et les nuages, ou causent la pluie.”
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Génération de contrail de poudre.
“Une poudre de particules dispersant les pigments de lumières, dont la surface est traitée pour minimiser les forces de cohésion entre particules, est poussée d’un moulin de propulsion désaglomérant en particules séparées pour produire un contrail de poudre ayant une visibilité et un rayon de dispersion maximal pour le poids de tout matériel donné.”
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Diffusion de traces d’agents chimiques biologiquement actifs.
“Une méthode et un dispositif conçus pour disséminer de façon égale par des techniques d’épandage, des quantités d’agents chimiques biologiquement actifs tel que nutriments, insecticides, fongicides, régulateurs de croissance et autres. Les agents chimiques biologiquement actif sont encapsulés dans un microdistributeur tel qu’un conduit filamenteux de grandeur et de croisement régulés. Les microdistributeurs remplis sont ensuite introduits dans une force de déplacement des fluides, préférablement l’air, et le liquide porteur contenant les microdistributeurs est ensuite diffusé à travers la région.”
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Méthode et appareillage pour déclencher un changement substantiel dans les caractéristiques terrestres et mesurer les changements terrestres.
“Des précipitations substantielles de particules énergétiques sont déclenchés par l’injection de gaz de basses énergies ionisées, tels que l’hydrogène, dans des régions de grande affluence de particules énergétiques ou près de l’équateur magnétique.”
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Méthode et appareillage pour la production de matériaux d’ensemencement.
“Une méthode préférée de réaliser l’invention inclut chauffer un composé volatile dans une chambre fermée pour former une vapeur, pressurisant la chambre avec du nitrogène gazeux et relâchant avec contrôle la combinaison vapeur-nitrogène résultante par une bec verseur (nozzle) ou orifice en débit supersonique.”
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Distributeur automatique de cartouches de modifications climatiques.
“Un distributeur de cartouches de modifications climatiques pour mettre à feu et distribuer automatiquement des charges pyrotechniques de modifications climatiques où le distributeur est en fait un canon à ressort automatique motorisé.”
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Matériel de couverture protectrice blanc capable de refléter les rayons ultraviolets.
“Qui comprend (A) une matrice matérielle substantiellement transparente comprenant un matériel polymère thermoplastique et (B) un agent blanc reflétant les rayons ultraviolets comprenant du ZrO², le matériel de la couverture étant difficile à distinguer des surfaces de neige non seulement par l’oeil nu, mais aussi, par un appareil d’inspection de rayons ultraviolets.”
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Procédure pour la modification artificielle des précipitations atmosphériques aussi bien que les composés avec un base de sulfoxyde diméthylique pour utiliser dans la réalisation de la dite procédure.
“Un procédé pour modifier artificiellement les précipitations atmosphériques où une composition liquide contenant du sulfoxide dymethylique comme principal ingrédient est dispersé dans l’atmosphère à partir d’un récipient en forme de microgouttes ayant un diamètre moyen se situant entre 1 et 10 microns.”
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Pulvérisateur laminaire micropropulsé et méthode d’épandages aériens de liquides.
“Un pulvérisateur laminaire micropropulsé et la méthode d’épandage aérien impliquent l’utilisation d’une carlingue ayant une ouverture dans les pales de directions pour ainsi permettre une zone confortable à l’intérieur des ailes dans laquelle le liquide pour l’épandage est introduit.”
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Méthode de production de nuages cumulus.
“La rupture d’une inversion thermale et la formation de nuages cumulus est produite par la mise à feu d’une composition pyrotechnique contenant un métal terrestre alcalin.”
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Aérosol chargé.
“Une méthode de défense contre des nuages d’aérosols toxiques de guerre utilise un aérosol défensif chargé qui est épandu dans les nuages. L’aérosol défensif est fait d’un agent défensif qui peut être chimiquement ou biologiquement actif.”
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Appareil de vaporisation liquide pour l’épandage aérien.
“Un vaporisateur liquide rotatif pour l’épandage aérien est activé par un moteur à vitesse variable, alimenté à son tour en courant d’un générateur AC à vitesse variable. Le générateur est alimenté d’un démarrage fourni par le moteur de l’avion d’épandage, un ensemble de fonctionnement inclut un appareil pour contrôler la vitesse du générateur relativement à la vitesse de l’appareil.”
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Création de nuages d’ionisation artificielle au-dessus de la terre.
“Une méthode pour former un nuage d’ionisation artificiel au-dessus de la terre en chauffant initialement le plasma résident à une altitude désirée avec des radiations électromagnétiques ayant une fréquence approximativement la même que le plasma.”
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Ensemencement stratosphérique welsbach pour la réduction du réchauffement global.
“La méthode inclut l’étape d’ensemencement de la couche de gaz absorbants la chaleur dans l’atmosphère avec des particules de matériaux caractérisés par une dépendante émissivité des ondes.”
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Méthode pour produire une coquille de particules relativistes à une altitude au-dessus de la surface terrestre.
“Une méthode pour établir une région de plasma de haute densité et de haute énergie à une altitude d’au moins environ 1500 kilomètres au-dessus de la surface terrestre.”
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Méthode d’ensemencement de nuages.
“Une méthode d’ensemencement de nuages pour l’amélioration des précipitations comprend le relâchement de particules d’ensemencement hygroscopiques à partir d’une fusée d’ensemencement. Les particules sont obtenues par combustion, dans la fusée, une composition pyrotechnique qui inclut, comme agent oxydant, un composé sélectionné du groupe composé de chlorure de potassium et perchlorure de potassium.”
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Méthode et composition pour des précipitations d’eau atmosphérique.
“Une méthode pour précipiter l’eau atmosphérique par un moyen d’aérosol multi composant, incluant des compositions d’aérosols multi composantes complexes à base d’iodide.”
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Méthode de modification climatique.
“Une méthode pour modifier artificiellement le climat en ensemençant des nuages de pluie d’un orage avec les polymères aqueux interreliés appropriés. Le polymère est dispersé dans le nuage et le vent de la tempête agite le mélange forçant le polymère à absorber la pluie.”
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Appareil et méthode pour rejeter de la matière d’un avion.
“Un éjecteur de fluide pour décharger des gaz et des fluides d’un avion. L’éjecteur de fluide est rattaché à une surface extérieure de l’avion et inclut un tube d’air qui est espacé de la surface extérieure de l’avion par un mât.”
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Ce dernier brevet prouve non seulement l’existence d’appareils pour répandre des substances dans l’atmosphère, mais démontre également le désir de cacher l’opération en concevant un système d’éjection de produits se répandant dans l’axe exact de la condensation des moteurs, rendant ainsi volontairement plus difficile l’identification des épandages.
Si vous désirez plus d’informations sur ces brevets ou toute autre invention brevetée, vous pouvez visiter le site du Bureau Américain des Brevets au www.uspto.gov, ou encore faire une recherche internet pour un autre service gouvernemental du genre. Toutefois c’est la version américaine qui nous a le mieux servi.
Un survol des inventions se rattachant, par exemple, au contrôle climatique, aux modifications du comportement, ou à d’autres objectifs de “contrôle”, donne tout son sens à la citation d’Albert Einstein:
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Il est dérivé du terme anglophone “Contrails” (condensation trails – traces de condensations) qui désigne cette trace blanche laissée à l’arrière des avions à haute altitude, dû au contraste de température entre l’air ambiant et celui des moteurs.
Toutefois, devant l’apparition de traces différentes, vers le milieu des années 90, le terme “Chemtrails” (chemical trails – traces de produits chimiques) est apparu en même temps qu’une polémique: Y a-t-il un programme d’épandage par avions de particules dans l’atmosphère?
Au départ nous ne voulions pas produire de page sur les chemtrails. Quelques traductions de textes pertinents pour vous informer, mais pas de composition sur le sujet.
Premièrement, parce qu’il y a déjà beaucoup de sites internet présentant suffisamment de preuves pour soutenir la thèse, mais d’abord et avant tout parce que quiconque s’exprime sur ce sujet met sa crédibilité en doute. Notre site traite de divers sujets dont certains dits “conspirationnistes”, et il nous semblait que d’ajouter nos commentaires sur ce phénomène inquiétant nous classerait définitivement comme “bizarroïdes”, ou quoi d’autre encore. Essayez-le vous même en parlant de chemtrails à vos proches, et vous verrez; auprès de la population en général, l’idée que des avions larguent des produits chimiques avec l’approbation des pouvoirs en place semble tout à fait paranoïaque, farfelue, impossible. Il n’en est rien.
Et c’est pourquoi nous avons finalement ajouté cette page. Devant la quantité de plus en plus impressionnante de preuves (pour qui veut bien les voir) et la présence de plus en plus nocive des traces elles-mêmes (que nous avons observées et photographiées dans différentes régions du Québec), nous en sommes venus à la conclusion qu’un vaste programme mondial d’épandage d’agents chimiques pourrait exister, et que les êtres humains en serait une des principales cibles. Il faut réagir, et vite.
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Dans le cas des chemtrails, nous pourrions sans doute parler de deux “types”, ou suite d’évènements, qui marquent les débuts:
1- Les premiers “tests” militaires d’épandage de produits toxiques à partir d’avions, sur des zones restreintes. Par exemple, en 1953, une des premières séries de tests est conduite sur les résidents de la ville de Winnipeg. 36 différents essais sont effectués au total, alors que les responsables Américains, CIA en tête, mentent aux dirigeants Canadiens sur la véritable nature des tests. Le but de l’opération était de déterminer à quelle proportion de la population il est possible d’infliger chimiquement le cancer.
Les instances responsables ont finalement dû admettre, longtemps après les évènements, que de tels tests ont bel et bien eu lieu.
2- L’affirmation par des individus qu’un vaste programme plus large d’épandage à l’échelle mondiale existe. Cette polémique a débuté (approximativement) en 1995 lorsque de plus en plus de gens ont commencé à remarquer des traces dans le ciel qui n’étaient pas, selon eux, des traces de condensation ordinaires.
Les responsables nient tout… mais pour combien de temps encore?
Une autre quantité de condensation est, elle, produite par un contraste de température, dont le principe est (grossi��rement) le suivant. L’avion se déplace en altitude dans de l’air très froid. Évidemment les moteurs sont, eux, très chaud, et réchauffent instantanément l’air qui y passe et celle se trouvant à proximité. Le contraste de chaleur ainsi créé produit donc de l’eau.
Toutes ces goutelettes d’eau qui s’échappent à l’arrière des avions seraient dans la plupart des cas invisibles de la terre si ce n’est qu’une fois l’avion plus loin et la chaleur dissipée, cette eau exposée au froid de l’altitude gèle et forme ces fameuses traces blanches, auxquelles nous avons tous été habitués dans notre jeunesse en regardant le ciel.
En voici quelques images.






Tout d’abord un espace entre l’appareil et la traînée blanche. Il s’agit d’une évidence physique puisqu’un refroidissement de la condensation est nécessaire avant qu’elle ne puisse cristalliser (geler). Il est donc impossible qu’une trace dite contrail apparaisse immédiatement �� l’arrière de l’avion.
Ensuite, on peut compter que le nombre de traces de condensation (évidemment en vue rapprochée) coïncide généralement avec le nombre de moteurs, ce qui va de soi, outre dans des conditions particulières (et relativement rares) de vents ou d’aérodynamisme.
On peut aussi constater un délai de dissipation assez court. Les délais peuvent varier selon diverses conditions, mais dans les limites des lois de la physique, évidement.
D’après le météorologue Thomas Schlatter, de l’Administration Atmosphérique et Océanique Nationale Américaine, les contrails dits “normaux” ne peuvent se former qu’à une température inférieure à -76ºF et à un taux d’humidité de 70%. Selon lui, même dans les conditions idéales, un contrail ne devrait pas durer plus de 30 minutes.
Toute l’argumentation des chercheurs sur le sujet des chemtrails, de même que toute la rhétorique des responsables gouvernementaux gravite autour de ce litige: S’agit-il vraiment de programmes d’épandages nocifs, ou pourrait-t-il ne s’agir que de traces de condensations qui, dû à des facteurs météorologiques, l’augmentation du trafic aérien, ou à des composantes de carburant chimique, laissent des traces qui sont davantage visibles que jadis?
Certains croient connaître l’ultime réponse, et les plus convaincus sont étrangement ceux qui considèrent que le phénomène est “normal” et dû à notre simple utilisation de la propulsion. Les gens supportant la théorie des “chemtrails” sont maintenant ridiculisés par des météorologues et autres spécialistes, et depuis quelques mois des dizaines de pages expliquant la toute naturalité des traînées blanches persistantes sont questionnablement nouvellement apparues sur internet. … Et Pourtant … Croyez-nous sur parole, ce serait un véritable soulagement d’apprendre que tout ceci n’est en fait que “normal”, et nous l’accepterions sans problème si la preuve en était faite hors de tout doute. Si la croisade contre les chemtrails s’arrête sur une telle découverte, nous aurons (la communauté engagée dans le dénonciation du phénomène) au moins sensibilisé la population à la pollution par la propulsion a��rienne et le trafic aérien; qui sont déjà en soi très nocifs à l’environnement. Et nous rentrerions tous chez nous en riant et en espérant une nouvelle méthode de propulsion. Cela nous rendrait véritablement heureux. Mais les quelques communiqués timides des agences américaines déjà reconnues pour leur fiabilité douteuse, et les rapports de quelques scientifiques pro-gouvernementaux ne peuvent faire de contrepoids à l’évidence qui s’accumule et aux témoignages d’une partie grandissante de la population qui observe et subit les effets. S’il n’y a pas de telles opérations d’épandages en aérosol, maintenant appelés “chemtrails”, alors qu’on y fasse la lumière dans les médias, et que les responsables gouvernementaux (Québécois, Canadiens, Américains, etc.) affirment publiquement que rien de tel n’a lieu, et nous le prouve. L’histoire a trop souvent démontré que les questions restées sans réponse cachaient d’incroyables vérités, et que les gouvernements du monde se soucient peu des populations lorsqu’il y a un gain à faire. |
“Depuis plus de 3 ans maintenant, j’ai pris connaissance de nombreux rapports très répandus sur des avions laissant des traces entrecroisées d’agents chimiques dans le ciel. En tant qu’ancien écrivain d’aviation, récipiendaire de prix, j’ai initialement traité ces histoires comme des rapports de personnes non habituées aux traces de vapeur communes laissées par le passage d’avions à haute altitude.
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Deux images prises et émises par des activistes américains qui montrent clairement elles aussi la différence entre chemtrails et contrails:
Ce n’est que quelques années plus tard que certains médias dits “alternatifs” ou “communautaires” ont souligné la polémique, que le message a commencé à circuler, et finalement que certains individus en position de “connaissance de faits” sont intervenus pour eux aussi, décrier le phénomène. Il y a entre autres certains techniciens en aviation, responsables d’aéroports, directeurs de services de vol, et contrôleurs au sol qui ont tiré la sonnette d’alarme.
Aujourd’hui sur internet se trouvent des centaines de pages sur les chemtrails, et nous croyons (et espérons) que le nombre de personnes sur la planète préoccupées par ce phénomène se calcule en millions.
Ces personnes sont-elles toutes victimes d’hallucinations?
Malheureusement, le délai qui s’est écoulé depuis les débuts de la dénonciation (déjà une dizaine d’années), semble nuire à la cause. Comme les grands médias et les gouvernements ont gardé le silence toutes ces années, se refusant à tout démenti public, la théorie des chemtrails est de plus en plus catégorisée comme une simple légende urbaine…
Pour plus d’informations sur le phénomène, nous vous suggérons :
– le livre “Chemtrails : Les tracés de la mort”,
par Nenki (voir section Lecture),
– notre traduction d’un texte du “Spotlight”:
L’armée derrière 4 différents programmes de “chemtrails”
– la visite des suites suivants :
www.conspiration.cc
www.chemtrails-france.com
www.silver-wolves.com
perso.wanadoo.fr/EndOfLine
www.geocities.com/canadianchemtrails (Anglophone)
www.chemtrailcentral.com (Anglophone)
www.radarmatrix.com (Anglophone)
www.bariumblues.com (Anglophone)
www.carnicom.com (Anglophone)
www.weatherwars.info (Anglophone)
www.holmestead.ca (Anglophone)
www.willthomas.net (Anglophone)
www.apfn.org (Anglophone)
www.skyhighway.com/~chemtrails (Anglophone)
www.netowne.com (Anglophone)
www.deepspace4.com (Anglophone)
www.brainstrain.contrail.iwarp.com (Anglophone)
www.lightwatcher.com (Anglophone)
www.umedia.com (Anglophone)
strangehaze.freeservers.com (Anglophone)
– la visite des groupes de discussions Yahoo (Anglophones):
Chemtrails Over Canada
Chemtrail Tracking USA
Chemtrail Illness Research
– DE REGARDER LE CIEL AUSSI SOUVENT QUE POSSIBLE.
“Que faire?”
Pour agir directement sur les Chemtrails,
munissez-vous d’“Outils”.
© 2000-2006, Évolution Québec
Toute reproduction autorisée
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Comme la dernière illustration le démontre, certaines tours dites “de communication”, de même que des installations électromagnétiques importantes éloignées des zones habitées sont essentielles au bon fonctionnement des objectifs recherchés des chemtrails.
Et ce autant en ce qui concerne les applications technologiques militaires et les applications climatiques que les applications de contrôle du comportement.

Les tours servent principalement à ioniser et dé-ioniser l’atmosphère, de façon à faire réagir électriquement les substances répandues dans l’atmosphère.
Voici deux photos, dont une retouchée, qui démontrent bien des ondes se propageant dans une atmosphère saturée.


Des photos d’équipement d’épandages sur des petits appareils privés. Ceci n’est probablement pas relié au programme d’épandage mondial, mais prouve hors de toute que les inventions de modification climatiques sont déja installés sur divers types d’avion.
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Les responsables gouvernementaux et militaires affirment en effet que ce nous appelons chemtrails ne sont en fait que des traces de condensation venant de trafic aérien commercial, restant dans l’atmosphère plus longtemps dû à une présence d’humidité.
Mais qui dit trafic commercial, dit couloir aérien. Et il est à ce moment justifiable de se demander où mènent tous les couloirs aériens qui sont empruntés sur les photos suivantes (prises à différents endroits et à différents moments):
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Pourquoi ce groupe a-t-il vu le jour ? ou le malaise récurrent face aux médias
Information ? Quelle information ?
Cela fait des années que la lecture de la presse écrite – quelle que soit par ailleurs son positionnement politique supposé, et les médias dans leur toute grande majorté, avaient le don de gâcher mes journées et d’assombrir mes humeurs, par leur évidente mauvaise foi, leurs mensonges éhontés, leur silence assourdissant sur certains aspects de l’information qu’ils sont censés relayer.
Que cela se fasse de façon subtile, au travers d’une novlangue journalistique aux expressions et idiomes envahissant peu à peu tous les quotidiens, ou par l’intermédiaire d’articles/tribunes semblant avoir comme seul but de véhiculer ouvertement l’idéologie “pragmatique” dominante obligée, ou du moins ce que l’on veut nous présenter comme les impératifs “réalistes”, sans alternative, du nouvel ordre mondial que l’on est prié d’accueillir avec l’attitude la plus résignée; que cela soit par la présentation de l’actualité visiblement tronquée pour ceux qui se donnent la peine de remonter à la source de l’information, et de vérifier ainsi les évidentes et constantes manipulations de la vérité, tout aujourd’hui contribue à transformer les médias en une gigantesque machine de propagande, qui contribue à présenter au monde un reflet factice, pour le plus grand bénéfice des élites du nouvel ordre mondial, s’assurant ainsi de leur domination, au détriment des faits eux-mêmes, somme toute anecdotiques, et au détriment du citoyen, réduit au rôle de consommateur décérébré, et perdant de surcroît un espace de représentation et d’expression.
Ce mouvement a pris son véritable essor au milieu des années 80, appuyé par les idéologues-intellectuels du nouvel ordre ultra-libéral, et surtout par l’accroissement progressif et continu de la concentration des médias aux mains de groupes privés et financiers. On serait bien naïfs de croire qu’un tel état de fait eût permis à la presse de garder la nécessaire indépendance que nécessite son rôle. Comment pourrait-elle nous faire avaler qu’aucun conflit d’intérêt ou qu’aucun de ses principes “idéologiques” basés sur le profit n’interfère avec les données factuelles de l’actualité et de son analyse ? Du reste, les exemples ne manquent pas, ils se précipitent et envahissent notre quotidien à l’instant ou nous tournons le bouton du poste, où nous jetons un oeil aux titres de nos journaux.
Cette déformation-occultation de l’information touche l’ensemble de l’événementiel, toutes sphères thématiques confondues. Elle peut être brutale ou plus subtile, mais elle est partout agissante à des degrés divers. Aucune liste ne saurait être exhaustive mais parmi les thématiques sujettes à la manipulation médiatique il en est certaines qui la subissent de façon répétée, visible et systématique:
Le conflit israélo-palestinien en est un exemple frappant, de même que le récent drame du Liban, ainsi que l’Irak (Quand lira-t-on dans la presse une condamnation franche et sans équivoque de cette ignominie ?) et, plus largement tout ce qui a un rapport avec la perception du monde arabe et musulman. Les appétits hégémoniques occidentaux pour les ressources énergétiques du Moyen-Orient et leurs efforts géo-stratégiques afin de les satisfaire expliquent cela en partie. Dans le même sens, il fallait trouver un nouvel ennemi (suite à la chute du mur de berlin) afin de justifier par un juste combat pour la démocratie toutes les ingérences criminelles nécessaires à ce projet. L’islamisme radical a ainsi été instrumenté et développé par l’Occident lui-même, théorisé bien vite par de pseudo-intellectuels ne visant à rien d’autre qu’à vendre à un public hébété l’idée huttingtonienne d’un choc de civilisations: si celui-ci n’existe pas, il s’agira de le fabriquer. Gardons celà à l’esprit quand surviennent à intervalles réguliers des alarmes terroristes tonitruantes (Etats-Unis, Londres, Canada…), dont les accusés, outre de n’avoir aucun droit, ne connaissent ni les charges ni n’ont connaissance des éventuelles preuves retenues contre eux. (et nous non plus). Ce qui n’empêche nullement la presse de nous les relayer en bon télégraphistes des pouvoirs accusateurs, sans recul aucun.
Idéologiquement, la presse est également responsable de privilégier l’ultra-libéralisme, et d’influer dans le but de rendre incontestable aux yeux du public l’obligation de l’émancipation croissante du secteur privé et des multinationales du carcan législatif des Etats, seul et fragile rempart -en voie de liquidation, du citoyen contre les atteintes à ses droits et à sa liberté. Les chroniques de Le Boucher dans le Monde en sont un bon exemple. Comment s’en étonner quand la majorité de la presse française appartient Lagardère, Dassault et consorts.
On est jamais mieux servi que par soi-même.
Le pouvoir actuel en Israël et aux Etats-Unis a l’insigne honneur d’avoir institutionnalisé le racisme et l’apartheid, pour le fondre au néolibéralisme, en le transformant en une entité des plus sauvages et des plus meurtrières. Et nos médias, dans leur toute grande majorité, se voient assignés le rôle, au mieux d’autruche, au pire de justificateurs complaisants.
Alors bien sûr, l’émergence de la nouvelle gauche en Amérique-latine, avec Chavez et Morales, etc., se retrouvent sous le feu des critiques les plus violentes, rejoignant le diabolique Castro dans l’aréopage occidental des personnalités haïes… et pour cause. Que je sache, les pays dont ils sont les représentants n’ont jamais envahi personne; ils n’ont pas comme leurs contempteurs la conscience encombrée de centaines de milliers de victimes. De qui se moque-t-on ?
Je garde en réserve la couverture médiatique du referendum pour l’adoption de la constitution européenne pour la suite. Et les banlieues… et tout et tout.
Ce groupe a donc vu le jour afin de m’éviter des ulcères, et pour préserver une indispensable bonne humeur que la frustration d’être pris pour un con mettait en grand danger.
Par la présentation d’article qui, je l’espère pour la plupart d’entre eux, offrent une alternative plus approfondie que la bouillie habituelle, sur les nombreux problèmes de notre société, j’espère que certains d’entre vous trouveront ici une compilation de liens et d’articles leur permettant d’être aidés dans leur recherche pour une information plus proche de la réalité.
Je remercie ici tous les contributeurs, sites, paticuliers, qui nourrissent ici cet ogre informatif insatiable.
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Le lien entre grippe et HIV
Poursuivons notre quête de la vérité sur la grippe. Le troisième pathogène, le plus important bien que le plus négligé des trois, est le mycoplasme (ci-contre).
Même si l’OMS et d’autres organismes de « santé » veulent vous faire croire que le virus de la grippe aviaire (le H5N1) est redoutable, c’est le mycoplasme que l’humanité doit redouter. Nous vous rappelons que le monde de la médecine officielle ne souhaite apparemment pas que le citoyen moyen ait connaissance de l’existence d’un tel organisme.
Permettez que nous vous montrions une représentation miniature du mycoplasme. Commencez par regarder la bactérie. Remarquez qu’elle possède des ribosomes qui, comme nous l’avons vu, contribuent à la fabrication de l’ARN, et notez en outre qu’il arrive que des particules de cet ARN se détachent après la mort de la bactérie et se protègent en se rassemblant en groupes de huit fragments d’ARN qui sont ensuite enfermés dans une matrice protectrice et une membrane cellulaire, et voilà : vous avez le virus de la grippe !
Maintenant, examinez de nouveau la bactérie et remarquez la chaîne d’ADN. Si la bactérie est tuée, non seulement l’ARN tente de sauver sa peau sous forme de virus, mais les particules de cet ADN cherchent elles aussi à survivre en tant qu’organismes vivants en formant une membrane et en partant à la recherche, au sein de leur environnement, d’une autre cellule hôte qui les laissera entrer et les hébergera. Là encore, cette particule d’ADN d��pourvue de paroi cellulaire devient une forme de vie autoréplicative mais quelque peu incomplète, connue comme une espèce de mycoplasme !
Ainsi, comme le Dr Shmuel Razin, microbiologiste, le décrit, l’idée sous-jacente au schéma évolutif actuel des mycoplasmes est celle d’une dégénérescence des bactéries à paroi6.
Ainsi, au départ, une espèce de « bactérie à paroi », qui pour une raison quelconque (comme l’action de la pénicilline) se désagrège (évolution dégénérescente). Puis, des particules choisies de l’ADN bactérien se mettent rapidement en quête d’une autre cellule dans laquelle elles pourront élire domicile. C’est presque un virus, sans la capside protectrice que nous avons remarquée plus haut.
Dans la mesure où il s’agit presque d’un virus, des chercheurs tels que Carleton Gajdusek en 1976 lui ont donné le nom de « virus non conventionnel », sans se rendre compte qu’il s’agissait du même micro-organisme que celui découvert par Nocard et Roux de l’Institut Pasteur en 1898 et baptisé « mycoplasme ». En 1944, Monroe Davis Eaton, un microbiologiste américain, est tombé sur cet organisme et lui a donné son nom : l’agent « Eaton ».
Inoffensif tant qu’il n’est pas traumatisé
En étudiant la source pathogène d’une pneumonie atypique chez les recrues de la marine américaine au milieu des années 40, le chercheur sur le sida Robert Huebner a appelé ce micro-organisme « organisme de la pleuropneumonie ». En 1946, lorsqu’il a découvert ce même pathogène dans les amygdales dégénérescentes de certaines recrues, il lui a donné le nom d’« organisme similaire à la pleuropneumonie » (PPLO).
Enfin, la maladie semblait mettre tant de temps à se déclencher que plusieurs chercheurs dont Gajdusek ont baptisé ce pathogène « virus lent » ou « lentivirus », terme inventé en 1947 par le Dr Björn Sigurdsson.
Ainsi, aujourd’hui, nous avons affaire au microorganisme original de Nocard et Roux, le mycoplasme, qui apparaît dans la documentation sous le nom d’« agent Eaton, d’« organisme similaire à la pleuropneumonie », de « virus non conventionnel », de « lentivirus », et plus tard de « substance amyloïde » et enfin de « prion ». À notre avis, cette multiplicité d’appellations, et la confusion qui en résulte, n’est pas totalement innocente.
Lorsque le mycoplasme trouve une cellule qui lui permet de franchir la membrane cellulaire, il se tient généralement tranquille, sans faire le moindre mal à son nouvel hôte jusqu’à ce qu’il subisse un quelconque traumatisme.
Le corps dont la cellule fait partie peut être victime d’une collision arrière ou être traumatisé par une chute sur la glace. Le simple fait d’apprendre le décès d’un ami très cher peut provoquer un traumatisme suffisant pour réveiller le mycoplasme dormant.
Lorsqu’elles sont ainsi activées, certaines espèces de particules mycoplasmiques d’ADN commencent à absorber les stérols préformés de leur nouvel hôte, finissant par tuer ce dernier. Le tout peut être qualifié d’« infection mycoplasmique » et se présenter, par exemple, sous la forme d’une pneumonie, dans laquelle les cellules des poumons commencent à dégénérer et à libérer du liquide qui inonde les alvéoles, les cellules contenant l’air à l’intérieur des poumons.
Les dommages mycoplasmiques sont aussi importants, sinon plus, que les dommages bactériens et viraux causés à un patient grippé.
Ne vous trompez pas de danger
Ceux qui croient au tapage actuel sur une mutation du virus de la « grippe aviaire » qui serait en train de provoquer une pandémie mondiale et pensent que les nobles et courageux employés de l’Organisation mondiale de la santé et leurs agents de presse du New York Times font tout leur possible pour sauver l’humanité, sont à mettre dans le même panier que ceux qui croient encore que Lee Harvey Oswald a agi seul dans l’assassinat du Président Kennedy.
Attention, il pourrait bien y avoir une pandémie mondiale et il se pourrait qu’elle tue des milliers de personnes par jour sur un certain laps de temps. Mais les chances qu’elle soit due à une espèce mutante isolée (H5N1) d’un virus de grippe aviaire sont infimes voire nulles, alors qu’il y a de très fortes chances qu’il s’agisse d’une infection mycoplasmique. Si une telle pandémie survient, la cause en sera bien plus profonde qu’un simple virus aviaire mutant. Elle résidera très certainement dans les mystères du mycoplasme, ses caractéristiques et sa prévalence grandissante. Nous pensons qu’une telle pandémie, si elle doit se produire, ne sera pas le fruit du hasard, comme on veut nous le faire croire à propos de la pandémie de sida et du syndrome de fatigue chronique (SFC).
Une pandémie de grippe sera un événement tout aussi programmé que le lâcher du sida et du SFC sur le monde : elle fera partie d’un programme de longue haleine visant à réduire la population mondiale.
•Une partie de l’humanité déjà contaminée ?
Lorsque nous avons commencé à passer en revue la documentation disponible sur la grippe et à préparer un numéro spécial du Journal of Degenerative Diseases, nous pensions, comme la plupart des autres habitants de la planète, que nous avions là une autre maladie humaine ancienne sévissant sous forme de pandémie à peu près tous les onze ans.
En termes clairs, nous avons pris conscience qu’il se tramait quelque chose à l’��chelle planétaire et que le prétexte de la grippe aviaire H5N1 contribuait non seulement à faire avancer le projet mais permettrait aussi après coup aux prophètes de malheur de dire, « Eh bien, nous aurons au moins essayé de vous prévenir ».
Nous avons relu le module de la Uniformed Services University of the Health Sciences du Dr Shyh-Ching Lo sur le mycoplasme pour la dixième fois… et nous avons soudain compris le véritable sens de l’un des paragraphes de ce module. Voici le paragraphe en question : « La forme la plus grave de l’infection M[ycoplasma] fermentans est celle d’une maladie systémique fulminante qui commence comme une grippe. Les patients voient leur état de santé se détériorer rapidement, développant de graves complications parmi lesquelles le syndrome de détresse respiratoire aiguë, la coagulation intravasculaire disséminée, et/ou l’insuffisance multiorganique. »7
Maintenant, notez bien ceci : ce n’est pas la grippe, mais une « maladie semblable à la grippe » que tout le monde pourrait en toute bonne foi confondre avec la grippe – mais ce n’est pas la grippe, et elle n’est pas due à la souche H5N1 du virus de la grippe aviaire. Elle est due à un pathogène breveté par le gouvernement des États-Unis !
Ainsi, si une pandémie de « grippe » frappe et si certains médecins essaient de traiter ce qui semble être une pneumonie bactérienne avec de la pénicilline, cette dernière ne fera qu’aggraver l’infection mycoplasmique ! Nous pensons qu’une bonne partie de l’humanité a déjà été contaminée par un agent infectieux mycoplasmique administré dans les innombrables vaccins qui nous ont été imposés au fil des années. D’autres vaccins pourraient être pareillement contaminés.
Votre médecin et vous-même penserez que vous avez la grippe aviaire alors que vous aurez en réalité la maladie du mycoplasme semblable à la grippe…et qu’elle tuera des milliers de personnes si elle n’est pas reconnue.
À propos des auteurs
Notes
1. Nous avons exposé certaines de ces preuves dans The Journal of Degenerative Diseases (vol. 5, n° 3, automne 2004) et dans notre dernier livre Life: From Plants to Animals to Us, nous n’y reviendrons donc pas ici.
2. Parmi les rapports les plus authentiques et les mieux documentés sur l’usage des armes biologiques par les Américains durant la Guerre de Corée, citons The United States and Biological Warfare de Stephen Endicott et Edward Hagerman, publié par Indiana University Press, 1998.
3. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, 1999, p. 60.
4. Webster’s New Explorer Medical Dictionary, p. 747.
5. Molecular Cell Biology, W.H. Freeman, New York, 2000, 4e édition, p. 713.
6. Mycoplasmas: Molecular Biology and Pathogenesis, éd. Jack Maniloff et al., American Society for Microbiology, Washington, DC, 1992, p. 4.
7. The Journal of Degenerative Diseases, vol. 5, n°2, p. 28).
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Le mycoplasme est reconnu par un brevet
Jetez un coup d’œil au Johns Hopkins Family Health Book (« l’autorité médicale n°1 en Amérique »), et allez dans la rubrique « mycoplasme ». Vous n’y trouverez rien ! Cherchez maintenant le mot « mycoplasme » dans le glossaire de cet énorme volume de 1 658 pages. Vous ne le trouverez pas ! Allez voir l’index, regardez à la lettre « B » et essayez de trouver une référence à la « brucellose ��. Il n’y en a pas. Et pourquoi donc ? Eh bien, ce terme, lui aussi, a commencé à tomber en désuétude chez les personnes et institutions susceptibles de le connaître et de l’utiliser, quelque temps après que le gouvernement américain eut commencé à utiliser la brucellose dans les armes biologiques, comme celles qu’il a employées contre la Chine et la Corée du Nord durant la Guerre de Corée2 . Après la guerre de Corée, les recherches se sont poursuivies mais elles se sont concentrées sur un dérivé de la particule d’acide nucléique Brucella abortus, désormais connu comme l’une des diverses espèces de mycoplasme.
Le mycoplasme est aujourd’hui reconnu par un brevet, détenu par le gouvernement américain, comme étant un facteur dans « … le sida ou l’ARC (syndrome apparenté au sida), le syndrome de fatigue chronique, la granulomatose de Wegener, la sarcoïdose, le syndrome de détresse respiratoire, la maladie de Kikuchi, les maladies autoimmunes telles que la collag��nose avec manifestations vasculaires et le lupus, ainsi que les maladies débilitantes chroniques comme la maladie d’Alzheimer ». Cette impressionnante liste de maladies liées au mycoplasme est extraite du brevet américain de 1991 n°5 242 820, dont l’« inventeur » est Shyh-Ching Lo, lequel a cédé les droits de brevet à l’American Registry of Pathology, Washington, DC. Autrement dit, le gouvernement américain détient un brevet sur une arme pathogène et mortelle de destruction massive sous la forme d’un brevet sur « un mycoplasme pathogène ». Et ce mycoplasme provoque une « maladie semblable à la grippe » pouvant s’avérer fatale.
Un gigantesque crime contre l’humanité
La clique de Johns Hopkins n’est que l’une des nombreuses institutions complices de ce gigantesque crime contre l’humanité, il n’est donc pas surprenant que ceux qui sont au courant souhaitent supprimer les termes « mycoplasme » et « brucellose » de « l’autorité médicale n°1 de l’Amérique ».
Ce qui s’est passé dans le cas de l’élaboration d’armes biologiques américaines à partir de la brucellose et de diverses maladies mycoplasmiques est en train de se transformer en un objectif de régulation des populations sous le couvert d’une pandémie fatale qui ressemblera à la grippe et sera attribuée à un virus aviaire « mutant » : le H5N1.
Le « N » dans ce nom d’espèce signifie neuraminidase, chaîne d’acides aminés apparaissant sur la surface du virus de la grippe et lui permettant d’accéder à certaines cellules humaines. Si la séquence d’acides aminés est altérée, elle revêt la forme d’une nouvelle variante de l’antigène du virus. Il est important de savoir que le mycoplasme peut modifier certains acides aminés in situ et altérer ainsi le code de la neuraminidase et du même coup la faculté du virus de la grippe à accéder aux cellules.
Le principe de concentration
Mais ne vous laissez pas aveugler par tout ce jargon trompeur que vous déballent les « autorités » et les médias. Le virus de la grippe responsable de la pandémie de 1918-19, immense tragédie qui a provoqué plus de 20 millions de décès, peut très bien avoir été lâché sur le monde sous forme d’arme de guerre biologique, et son successeur artificiel pourrait bien faire un nombre encore plus grand de victimes.
Nos recherches nous ont démontré que lorsque les hommes ou d’autres espèces animales (y compris les oiseaux) sont concentrés dans un espace relativement confiné, il y a un risque accru de voir augmenter les maladies d’origine respiratoire. Voyez plutôt les exemples suivants.
Durant la Première guerre mondiale, des milliers d’hommes ont été entassés dans de vastes casernes, souvent mal aérées. Les recrues militaires étaient encore plus à l’étroit dans les transports de troupes et obligées de respirer le même air pendant des heures d’affilée. Et si cet air avait été contaminé par quelque pathogène ? Eh bien, dans ce cas, le pathogène aurait eu de plus grandes chances de se concentrer dans l’appareil respiratoire et les poumons des victimes.
Dans les fermes industrielles, des millions de poulets et autres volailles sont généralement placés dans des cages grillagées peu après leur naissance. Plusieurs cages sont empilées les unes sur les autres et les fientes des oiseaux tombent sur le sol, où elles sont récupérées et transformées en complément protéique pour d’autres animaux de la ferme. Ainsi, les agents pathogènes aéroportés ne sont pas les seuls à être concentrés, ceux véhiculés dans les fientes le sont tout autant. À un certain degré, on retrouve la même concentration dans de petites exploitations avicoles artisanales situées dans des zones rurales d’Asie où des hommes, d’autres animaux de la ferme (notamment les cochons) et diverses catégories de volaille se partagent un espace limité pendant la majeure partie de leur vie quotidienne.
Là encore, le principe est la concentration, élément qui se révèlera extrêmement crucial lors de notre discussion ultérieure sur le mycoplasme.
Pour comprendre, il faut partir de la cellule
Le corps humain moyen se compose d’environ 50 billions (50 000 000 000 000) de cellules. Au départ, elles se présentent toutes sous la forme d’une cellule unique, l’ovule fourni par la mère et fécondé par le sperme du père. Puis, juste après la fécondation, l’ovule commence à se diviser et à se différencier afin de créer tout l’éventail de cellules qui s’associent selon un schéma héréditaire pour constituer toutes les parties nécessaires du corps en formation.
C’est là que la plupart des gens se trompent au sujet de la santé et de la maladie, y compris au sujet de la grippe : ils partent du corps dans son ensemble et parlent d’une seule maladie à la fois (par exemple, « j’ai la grippe », ou « mon corps est rongé par le cancer »). L’essentiel est de partir des cellules individuelles qui sont attaquées par des pathogènes individuels.
Or, à propos de ce que l’on qualifie de pandémie de grippe, il faut savoir ceci : sous la rubrique « grippe », il y a toute une variété de pathogènes qui, seuls, combinés ou les uns après les autres altèrent le bon fonctionnement des cellules individuelles à différents endroits du corps. Parmi les dangereux pathogènes, il existe diverses espèces bactériennes, virales et mycoplasmiques s’activant dans les cellules des différents systèmes de l’organisme.
On ne peut pas dire que la grippe « tue » une personne. Il faut penser en termes de pathogènes spécifiques endommageant ou détruisant des cellules spécifiques dans des systèmes spécifiques de l’organisme, parfois au point que le corps tout entier cesse de fonctionner. Alors, considérez d’abord la cellule comme une unité fondamentale et partez de là. L’entité morbide communément désignée sous le nom de « grippe » attaque surtout le système respiratoire, et le pathogène attaquant est un virus. Toutefois, au fil des ans, le terme « grippe » a été employé pour couvrir n’importe laquelle des nombreuses maladies fébriles qui vont au-del�� du système respiratoire pour affecter pratiquement tous les autres systèmes de l’organisme. Et il existe aujourd’hui une maladie « semblable à la grippe » provoquée par mycoplasma fermentans, sur laquelle nous reviendrons plus tard.
Le pathogène viral sur lequel on se concentre n’est que l’un des trois pathogènes qui entrent souvent en jeu dans les attaques de ce que nous appelons au sens large « la grippe ». Ce que l’on a tendance à ignorer, négliger ou minimiser, c’est le rôle de certains autres pathogènes tels que les bactéries et les mycoplasmes. Et ces derniers, notamment, ne figurent quasiment jamais dans les documents destinés au citoyen moyen.
Tout le battage tourne autour du « virus de grippe aviaire H5N1 ». Pourrait-il s’agir d’une manœuvre délibérément trompeuse destinée à détourner l’attention du véritable danger ? Sûrement. Nous sommes convaincus que le fait d’ignorer, de négliger et de minimiser le rôle du mycoplasme dans la grippe est intentionnel et criminel. La grippe est une entité morbide spécifique, mais dans le langage courant ce terme en est venu à couvrir plusieurs entités morbides telles que la pneumonie, l’encéphalite, la dysfonction endocrinienne et autres. Et malgré la diversité des pathogènes et l’éventail des systèmes de l’organisme qui sont affectés, le point de départ de la maladie reste toujours la cellule individuelle.
Les trois pathogènes impliqués dans la « grippe »
• La bactérie. C’est par essence un animal unicellulaire. Techniquement, ce pathogène est défini comme « tout membre d’un groupe de micro-organismes unicellulaires procaryotes circulaires, hélicoïdaux ou de forme allongée, réunis en colonies ou se déplaçant au moyen de flagelles, qui vivent dans le sol, l’eau, la matière organique, ou à l’intérieur de végétaux et d’animaux, et qui sont autotrophes, saprophytes ou parasites sur le plan de la nutrition et jouent un rôle important en raison de leurs effets biochimiques et de leur pathogénicité »3.
En tant qu’animal, la bactérie a la capacité d’ingérer des nutriments et de les transformer pour générer l’énergie nécessaire si elle veut remplir ses fonctions propres. Toutefois, elle est aussi capable de se reproduire toute seule et possède ainsi à l’intérieur d’elle-même le code génétique nécessaire des acides nucléiques (ADN).
À ce stade, reportez-vous à la figure 1 (ci-dessous) où nous avons grossièrement dessiné une bactérie de forme allongée et un virus de la grippe. Notez que nous avons représenté la bactérie et le virus à peu près de la même taille, ce qui ne reflète pas la réalité : la taille des bactéries va de quelques dizaines de micromètres à quelques centaines de micromètres de long. Le virus moyen, quant à lui, est 10 à 100 fois plus petit que la bactérie.
Bien qu’il y ait des exceptions, la bactérie est généralement entourée d’une paroi cellulaire non vivante servant à la protéger et à contenir le constituant liquide appelé cytoplasme. On trouve, en suspension dans le cytoplasme, l’esquisse de la reproduction (ce que l’on appelle l’ADN) et, réparties dans le cytoplasme, des particules ribosomales qui sont les dessins d’exécution (ce que l’on appelle l’ARN), servant à la fabrication ou à l’assemblage des protéines essentielles et des enzymes.
Même si la grande majorité des bactéries sont inoffensives voire utiles dans les processus métaboliques de la vie, certaines contiennent des toxines qui endommagent gravement les cellules vivantes d’autres organismes, notamment de l’homme. Pour vous aider à évaluer le danger des toxines bactériennes, voici un passage du livre extraordinairement lucide de David S. Goodsell Our Molecular Nature (Copernicus, New York, 1996, p. 113-14) : « Une seule molécule de la toxine fabriquée par les bactéries diphtériques peut tuer une cellule toute entière. Les toxines botuliques et tétaniques sont des millions de fois plus toxiques que les poisons chimiques tels que le cyanure. Ces toxines bactériennes ont un dessein meurtrier, ce sont les substances les plus toxiques connues à ce jour. Elles allient un mécanisme de ciblage spécifique, permettant aux toxines de chercher et de trouver des cellules sensibles, à une toxicité que seule une enzyme peut entraîner. Une fois à l’intérieur de la malheureuse cellule, la toxine saute d’une molécule à l’autre, les détruisant les unes après les autres jusqu’à tuer la cellule. »
Ici, bien que nous ne nous intéressions pas à la diphtérie, nous devons savoir que l’infection bact��rienne implique souvent une pneumonie bactérienne, et c’est généralement cette dernière, suivie d’autres complications sanguines et nerveuses, qui tue le patient grippé plutôt que le virus de la grippe en lui-même.
Largage de moustiques scientifiquement infectés
Avant de clore le sujet sur la bactérie, il y a un facteur supplémentaire à mentionner et à souligner tout particuli��rement. Dès 1946, le Dr George Merck, qui à l’époque dirigeait encore les travaux de recherche et développement sur les armes de guerre biologique aux États-Unis, a confié au ministre de la Défense que des chercheurs américains avaient appris �� isoler les toxines bactériennes sous forme cristalline. Cela signifiait qu’il ne serait plus nécessaire de transporter des bactéries porteuses de toxines vivantes jusqu’à un « ennemi » pour le contaminer. Il suffirait de prendre la toxine pathogène sous forme cristalline et de la transmettre à la cible via un insecte, un aérosol ou la chaîne alimentaire. Ainsi, on pourrait disséminer une maladie bactérienne sans laisser la moindre trace de bactérie !
C’est là que le gouvernement canadien, l’armée canadienne et l’Université Queen’s entrent en scène. Lorsque les États-Unis ont appris à isoler la toxine bactérienne sous une forme cristalline transmissible par des moustiques, ils ont demandé l’aide du gouvernement canadien. Les Canadiens ont accepté et ont commencé à élever 100 millions de moustiques par mois au Dominion Parasite Laboratory de Belleville, dans l’Ontario. Ils ont ensuite expédié ces moustiques au Dr Reid, du département de biologie de l’Université Queen’s de Kingston, dans l’Ontario. Là, le Dr Reid a infecté les moustiques avec diverses toxines pathogènes et les a remis à l’armée canadienne pour qu’elle les partage avec l’armée américaine afin de les tester sur des centaines de milliers de citoyens sans méfiance de ces deux pays.
• Le virus. Nous pouvons maintenant jeter un coup d’œil au micro-organisme autour duquel l’OMS et un certain nombre d’autres institutions gouvernementales et privées font tant de vacarme, le virus, en nous intéressant particulièrement à l’espèce aviaire appelée H5N1.
Tout d’abord, voici une définition d’un virus N : 1. Agent causal d’une maladie infectieuse ; 2. Tout membre d’un vaste groupe d’agents infectieux inframicroscopiques considérés comme des microorganismes extrêmement simples ou comme des molécules extrêmement complexes, qui possèdent généralement une capside entourant un noyau de matériel génétique (ARN ou ADN) mais pas de membrane semi-perméable, qui ne sont capables de se développer et de se multiplier que dans des cellules vivantes et qui provoquent diverses maladies importantes »4.
Que signifie tout cela ? Regardons de nouveau le dessin de la bactérie (figure 1). Remarquez la ligne sinueuse qui représente l’esquisse de la reproduction et qui est appelée acide désoxyribonucléique, l’ADN. Pour la vie de cette espèce particulière de bactérie, c’est une chaîne absolument cruciale d���acides nucléiques si elle veut perpétuer son existence.
Maintenant, supposez que quelque chose vienne tuer la bactérie, par exemple une variété de pénicilline qui crée une brèche dans la paroi bactérienne. Le fait de la vider de son cytoplasme tuera cette forme de vie, mais il y aura toujours une volonté de vivre dans les parties de l’ADN et de l’ARN. Par conséquent, les particules du noyau d’ADN ou d’ARN s’agglutinent et s’entourent rapidement d’une capside protectrice. Voilà ce qu’est par essence un virus : une particule porteuse d’information génétique entourée d’une capside.
Les virus tuent pour sauver leur peau
Regardez la bactérie d’un peu plus près et remarquez les trois points représentant ce que l’on appelle les ribosomes. Dans ces organites – et bien que notre dessin n’en montre que trois, le cytoplasme en regorge – les acides nucléiques appelés acides ribonucléiques (ARN) s’assemblent lorsque la bactérie doit fabriquer des protéines et des enzymes pour pouvoir fonctionner. Comme avec les particules d’ADN, certains ARN bactériens ont la faculté de chercher à survivre lorsque leur forme de vie originale est menacée, en s’agglutinant et en formant eux-mêmes une capside protectrice.
D’une façon ou d’une autre, la force de vie qui motive la bactérie sent de façon instinctive quelles sont les particules nucléiques qu’elle a besoin de sauver lorsque la forme de vie originale est menacée. Ainsi, les diverses espèces de virus sont des particules choisies de code génétique qui se sont protégées à l’aide d’une capside jusqu’à ce qu’elles puissent accéder à une autre cellule vivante et poursuivre leur petit bonhomme de chemin.
Malheureusement, en cherchant à sauver leurs particules de vie, les virus sont souvent obligés de détruire d’autres formes de vie telles que des cellules humaines. Lorsque cela se produit, les cellules détruites se présentent comme des restes de formes de vie antérieures ravagées par la maladie.
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En préparant un numéro spécial sur la grippe aviaire pour un magazine médical, deux chercheurs ont découvert que cette pandémie, si elle a lieu, ne sera pas due au virus H5N1, mais à un pathogène breveté par les États-Unis, le mycoplasme.
Par Donald W. Scott, Maître ès lettres et ès sciences et William L. C. Scott © 2006
Lorsque nous avons commencé à rassembler autant de données cruciales que possible à propos de la grippe, nous étions bien loin de nous imaginer dans quel bourbier nous allions nous fourrer. Nous pensions que la grippe était une maladie qui revenait fréquemment chez l’homme, les oiseaux et les animaux… surtout quand ces groupes cohabitaient plus étroitement que d’ordinaire. Nous savions également que certains groupes tels que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les National Institutes of Health (NIH) et les Centers for Disease Control (CDC) américains, de même que certains groupes de médias comme le New York Times, claironnaient à tous vents « La grippe arrive, la grippe arrive ! ».
Un cancer simiesque dans un vaccin
Au fur et à mesure que nous réunissions les faits, nous avons pris conscience que nous n’avions pas affaire à une éventuelle pandémie de grippe ordinaire. Nous avons nous-mêmes été stupéfaits par le tableau qui se dessinait. La citation qui suit est extraite d’un document du gouvernement américain intitulé « The Virus Cancer Program » (Programme de lutte contre les cancers d’origine virale). Sur la couverture figurent la date de juin 1978 et les informations éditeur : « Division of Cancer Cause and Prevention; US Department of Health, Education, and Welfare; Public Health Service; National Institutes of Health ». À la page 19, on peut lire : « … divers vaccins à adénovirus vivant atténué ont été administrés à des populations humaines choisies comme mesure de lutte contre les infections respiratoires débilitantes. Les choses se sont encore compliquées lorsque l’on a découvert que le papovavirus oncogène [c’est-à-dire ‘tumorigène’] SV40, prélevé sur les cellules simiesques utilisées pour propager les adénovirus, était présent en quantité importante dans ces préparations vaccinales. Puisque des virus hybrides dotés de diverses fonctions biologiques ont été isolés à partir de populations mixtes adénovirus-SV40, ces vaccins à adénovirus renfermaient certainement des virus recombinants de ce genre. Ainsi, plus d’un million de personnes se sont faites inoculer des spécimens représentatifs de deux groupes de virus à ADN aux propriétés oncogènes avérées ».
Autrement dit, le gouvernement des États-Unis a injecté un virus simiesque cancérigène à un million de citoyens américains. Dans les années 60, des millions d’habitants du Tiers-monde ont été rassemblés par les militaires étrangers qui occupaient leur pays et vaccinés gratuitement contre la variole. Les troupes d’occupation étaient principalement françaises, britanniques, belges et portugaises, et le généreux donateur du vaccin gratuit contre la variole était officiellement l’Organisation mondiale de la santé, mais en fait c’est le gouvernement américain qui a envoyé 17 équipes d’employés du CDC d’Atlanta vacciner des millions de personnes. On a dit aux bénéficiaires de cette largesse américaine que le vaccin les aiderait à échapper à la variole. Cependant, il s’avère aujourd’hui qu’ils attrappaient autre chose en échange : le virus de l’immunodéficience humaine (VIH), le rétrovirus supposé provoquer le syndrome d’immunodéficience acquise (sida).
Si l’on s’en donne la peine, on peut trouver des preuves incontestables montrant que le sida, qui tue actuellement près de 8 000 personnes par jour, a été pour l’essentiel « fabriqué aux États-unis »1.
Une maladie « semblable à la grippe » inventée
Ce que nous redoutons, c’est que le monde ait une nouvelle occasion d’échanger une maladie ancienne (une grippe virale) contre un mal nouveau : une « maladie semblable à la grippe » provoquée par une espèce de mycoplasme. En fait, si nos pires craintes se confirment, une grande partie de la population humaine a déjà été contaminée par ce nouveau pathogène mortel. Il a été mis au point à partir de son ancêtre naturel par les organismes gouvernementaux américains de recherche, développement, essai et déploiement d’armes biologiques aidés de leurs partenaires universitaires et commerciaux.
D’ici peu, les habitants des États-Unis et du Royaume-Uni vont certainement devoir accepter une vaccination pour se « protéger » contre la « grippe ». On ne sait pas au juste contre quelle souche de grippe ils vont être « protégés », mais l’espèce appelée « grippe aviaire » et connue sous le nom de H5N1 est présentée dans les médias de masse comme un candidat possible.
D’autres alliés crédules de la « Coalition » tels que la Pologne, l’Ukraine, l’Italie, l’Espagne et l’Australie suivront très probablement l’exemple de leurs « grands frères » britanniques/américains et accepteront de se faire vacciner pour se protéger contre la grippe. D’autres pays comme le Canada, la France, l’Allemagne, le Japon et d’autres subiront la pression de certains médias qui, dans l’intérêt de leurs « précieux lecteurs », leur conseilleront de faire de même.
À ce propos, soulignons que le président George Bush a déclaré en septembre 2005 qu’il risquait d’être obligé de faire appel à l’armée pour administrer le programme de vaccination et confiner les dissidents dans des camps de concentration jusqu’à ce qu’eux aussi acceptent le vaccin proposé. Souvenez-vous que le Portugal et la Belgique ont fait appel à l’armée pour veiller à ce que les citoyens des colonies occupées en Inde (Goa) et en Afrique acceptent les vaccins « gratuits » contre la variole qu’on voulait leur administrer à tout prix au milieu des années 60 et au début des années 70.
Le vieux truc consistant à dire « Voici un vaccin gratuit » a marché avec les pays du Tiers-monde qui ont involontairement échangé la variole contre le sida.
Il y a tout lieu de croire que cela marchera encore, sauf que cette fois, pour le reste d’entre nous, ce sera dans cinq ans voire avant, lorsque cette nouvelle maladie mortelle aura manifesté sa présence. En outre, comme nous l’avons découvert, elle a probablement déjà bien démarré. Cela ressemblera à la grippe, cela tuera comme la grippe, et les séquelles bactériennes seront là aussi. Mais ce ne sera pas la grippe !
Une nouvelle génération d’armes biologiques
Aujourd’hui, on a du mal à envisager ce scénario alarmiste, mais qui, en 1950, aurait pensé qu’à peine 50 ans plus tard l’épidémie du sida tuerait 8 000 personnes par jour ? Afin de vous aider à accepter la possibilité de ce nouveau scénario, citons un passage du livre que le chercheur Leonard Horowitz a publié en 2001 Death in the Air (p. 171) : « … en 1970, juste après que le conseiller à la sécurité nationale Henry Kissinger eut appelé à un dépeuplement drastique du Tiers-monde, ce qui a amené le Congrès à subventionner secrètement une nouvelle génération d’armes biologiques mises au point par Litton Bionetics, un contrat prévoyait de tester des souches spéciales de virus de la ‘grippe’ et de ‘para-grippe’. Comme je l’ai reporté dans Emerging Viruses: AIDS & Ebola – Nature, Accident or Intentional?, ces virus de la grippe ont été recombinés avec des virus de la leucémie pour leur seul usage rationnel : la réduction de la population. Tout comme le virus du sida, ces nouvelles souches pouvaient être disséminées plus rapidement pour provoquer un génocide progressif dont l’auteur ne serait jamais retrouvé. » En outre, bon nombre des protagonistes qui sont apparus dans cette étude sur la grippe avaient déjà été rencontrés dans notre étude sur l’origine du sida, où nous avions découvert qu’il s’agissait d’une arme stratégique de régulation des populations.
Toutefois, cette histoire va bien au-delà de la simple possibilité d’avoir quelque nouvel agent pathogène mortel caché au sein du « vaccin contre la grippe » tant promis. Nous en avons découvert une dimension nouvelle : un programme destiné à affaiblir les défenses de l’humanité, plutôt qu’à augmenter la virulence du virus grippal H5N1.
Ne vous fiez pas aux « autorités »
Nous savons que ce n’est qu’en 1960, lorsque Eisenhower a fait son discours d’adieu en tant que président, que le terme « complexe militaro-industriel » est entré dans le langage courant. Néanmoins, le groupe dont parlait Eisenhower est né bien des années plus tôt lorsque les Rockefeller, les Morgan et d’autres nouveaux riches américains ont commencé à manifester leur volonté de dominer l’humanité de diverses façons, notamment en prenant le contrôle des soins de santé et de la médecine, ce qui leur a permis de contrôler la vie des masses tout en protégeant la fortune des riches et en détruisant la vie des plus pauvres.
Prétextant qu’il allait aider les gens à rester en bonne santé, ce groupe s’est méthodiquement impliqué dans tous les aspects des soins de santé, y compris la recherche universitaire, le contrôle de l’exercice de la médecine par l’industrie pharmaceutique, la couverture médiatique des questions de santé et le contrôle des organismes gouvernementaux de santé publique.
C’est là que l’Université Johns Hopkins entre en scène. L’université et ses diverses facultés sont impliquées jusqu’au cou dans la déformation des études de médecine. Si vous accordez de la valeur à votre santé et à celle de votre famille, vous ne pouvez pas vous fier à ses déclarations sur la grippe.
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