IMPLANTES DE MICROCHIPS,CONTROL MENTAL y CIBERNETICA

N°1. Finnish version
http://img183.imageshack.us/img183/7172/finnisharticleonmcwd8.jpg

N°2 . English version
http://www.mindcontrolforums.com/implants-kilde.htm INVALID
http://www.conspiracyarchive.com/NWO/microchip_implants_mind_control.htm

N°3. Version française

Implants de micropuces, contrôle mental et cybernétique

Dr. Rauni Kilde, anciennement médecin hygiéniste en chef pour la Laponie (nord de la Finlande).

Commentaires d’Eleanor White:

Dr. Rauni Kilde, anciennement médecin hygiéniste en chef pour la Laponie, dans le nord de la Finlande, est l’une des plus courageuses de ceux qui nous soutiennent dans le monde professionnel. Elle a reçu un prix du CAHRA pour son apparition sur une vidéo actuellement disponible aux Productions Transmedia à Londres.

Voir le texte de la plaque d’attribution à: awardlst.htmMme Kilde  nous a donné l’autorisation de publier cet article, un exemple du soutien le plus vigoureux que nous ayons jamais reçu.

Nos plus sincères remerciements au Dr. Kilde.

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L’article suivant a été publié dans la 36ème année d’édition du journal de langue finnoise, SPEKULA (3e trimestre, 1999), en Finlande du Nord. Il s’agit d’une publication d’étudiants en médecine et de médecins de l’Oulu University OLK, envoyée à tous les étudiants en médecine de la Finlande et à tous les docteurs en médecine du nord du pays.
Tirage 6500 (à l’époque, bien entendu).

IMPLANTS DE MICROPUCES, CONTRÔLE MENTAL ET CYBERNÉTIQUE

par Leena Luukanen Rauni-Kilde, MD
Ancien médecin-hygiéniste en chef de la Finlande.

En 1948, Norbert Weiner a publié un livre, CYBERNETICS, défini comme une communication sur la neurologie et sur la théorie de contrôle mental déjà utilisé au sein de petits groupes à cette époque-là. Yoneji Masuda, “Père de la société de l’information”, a manifesté son inquiétude en 1980, en déclarant que notre liberté est menacée par la technologie cybernétique de style orwellien, totalement inconnue de la plupart des gens. Cette technologie relie le cerveau humain à des satellites contrôlés par des ordinateurs géants basés au sol, par l’intermédiaire de micropuces implantées.

Les premiers implants cérébraux furent insérés chirurgicalement en 1974 dans l’état de l’Ohio, aux Etats-Unis, et aussi à Stockholm, en Suède. Des électrodes cérébrales ont été insérées dans les crânes de bébés en 1946, à l’insu de leurs parents. Dans les années 50 et 60, les implants électriques ont été insérés dans le cerveau d’animaux et d’humains, en particulier aux États-Unis, dans le cadre de la recherche sur la modification du comportement et sur le fonctionnement du cerveau et du corps.
Des méthodes de contrôle mental furent employées dans des tentatives de modifier le comportement et les attitudes d’êtres humains. Influencer les fonctions du cerveau est devenu un objectif majeur pour les services de l’armée et du renseignement.

Il y a trente ans, des implants cérébraux mesurant un centimètre furent découverts dans des radiographies. Les implants suivants furent réduits jusqu’à la taille d’un grain de riz. Ils ont été faits de silicium, et plus tard encore, d’arséniure de gallium. De nos jours, ils sont suffisamment petits pour être insérés dans le cou ou le dos, et aussi par voie intraveineuse dans différentes parties du corps lors d’opérations chirurgicales, avec ou sans le consentement de la personne. Il est actuellement quasi impossible de les détecter ou de les extirper.

Il est techniquement possible d’injecter à chaque nouveau-né une micropuce qui servirait alors à identifier la personne pour le restant de sa vie. De tels projets sont discutés en secret aux États-Unis, sans aucune diffusion publique des problèmes que cela implique pour le respect de la vie privée. En Suède, le Premier ministre Olof Palme a donné l’autorisation en 1973 d’implanter les prisonniers, et l’inspection des données de l’ex-directeur général Jan Freese a révélé que des patients d’une maison de retraite ont été implantés au milieu des années 1980. La technologie est révélée dans le rapport de l’État suédois 1972:47, Statens Officiella Utradninger (SOU).

Les êtres humains implantés peuvent être pistés n’importe où. Leurs fonctions cérébrales peuvent alors être contrôlées à distance par des superordinateurs et même modifiées, grâce à la modification de fréquences. Les cobayes utilisés dans des expériences secrètes ont inclu des prisonniers, des soldats, des malades mentaux, des handicapés, des enfants et des personnes aveugles ou sourdes, des homosexuels, des femmes célibataires, des personnes âgées, des enfants en âge scolaire et de toute une population de personnes considérées comme “marginale” par les expérimentateurs de l’élite. Les expériences rendues publiques sur des prisonniers dans la prison de l’État de l’Utah, par exemple, sont choquantes pour la conscience.

Les micro-puces d’aujourd’hui fonctionnent au moyen d’ondes radio de basse fréquence qui les ciblent. Grâce à des satellites, la personne implantée peut être suivie partout, à l’échelle planétaire. Selon le Dr Carl Sanders, inventeur de l’interface biotique équipée d’intelligence (IMI) et injectée dans des êtres humains, une telle technique figurait parmi un certain nombre de techniques testées pendant la guerre d’Irak. (Auparavant, au cours de la guerre du Vietnam, des soldats ont été injectés avec la puce Rambo, conçue pour augmenter le débit d’adrénaline dans la circulation sanguine.) Les super ordinateurs de la National Security Agency des Etats-Unis (NSA) capables de calculer 20 milliards de bits par seconde pourraient, à présent, “voir et entendre” ce que les soldats éprouvent sur le champ de bataille, avec un système de télésurveillance (remote monitoring system ou RMS).

Quand une puce de 5 micromillimètres (le diamètre d’un brin de cheveu est de 50 micromillomètres) est placée dans le nerf optique de l’œil, elle capte les impulsions neurales du cerveau qui incarnent les expériences, les odeurs, la vue et la voix de la personne implantée. Une fois transférées et stockées dans un ordinateur, ces neuroimpulsions peuvent être reprojetées dans le cerveau de la personne via la puce, pour permettre le renouvellement de telles expériences. En utilisant un système de télésurveillance (RMS), un opérateur d’ordinateur basé au sol peut envoyer des messages électromagnétiques (encodés comme des signaux) au système nerveux, affectant ainsi la performance de la cible. Grâce au RMS, des personnes en bonne santé peuvent être amenées à avoir des hallucinations et à entendre des voix dans leur tête.

Chaque pensée, réaction, audition et observation visuelle provoque un certain potentiel neurologique, des pics et des modèles dans le cerveau et ses champs électromagnétiques, qui peuvent à présent être décodés en pensées, en images et voix. La stimulation électromagnétique peut donc modifier les ondes cérébrales d’un individu et affecter l’activité musculaire, provoquant ainsi des crampes musculaires douloureuses vécues comme une torture.

Le système électronique de surveillance de la NSA peut simultanément suivre et manipuler des millions de personnes. Chacun de nous possède une fréquence de résonance bioélectrique unique dans le cerveau, tout comme nous possédons des empreintes digitales uniques. La fréquence électromagnétique (EMF) du cerveau étant entièrement codée, des signaux électromagnétiques pulsants peuvent être envoyés au cerveau, provoquant la voix et les effets visuels que l’on désire que la cible éprouve. C’est une forme de guerre électronique. Des astronautes américains furent implantés, avant d’être envoyés dans l’espace, de façon à ce que leurs pensées puissent être suivies et que toutes leurs émotions puissent être enregistrées 24 heures sur 24.

Le Washington Post rapporta en mai 1995 que le Prince William de Grande-Bretagne avait été implanté à l’âge de 12 ans. Ainsi, si jamais il devait être enlevé, une onde radio avec une fréquence spécifique pourrait être envoyée jusqu’à sa micro-puce. Le signal de la puce serait suivi via satellite sur l’écran d’ordinateur du quartier général de la police, où les mouvements du Prince pourraient être suivis. Il pourrait, en fait, se trouver, n’importe où, dans le monde.

Les mass media n’ont pas signalé que la vie privée d’une personne implantée disparaît pour le reste de son existence. Cette personne peut être manoeuvrée de plusieurs manières, toutes différentes les unes des autres. En utilisant différentes fréquences, le contrôleur secret de ce dispositif peut même modifier la vie émotive d’une personne. Il est possible de la rendre agressive ou léthargique. Sa vie sexuelle peut être artificiellement influencée. Des signaux de pensée et la pensée subconsciente peuvent être lus, des rêves peuvent être affectés et même induits, tout cela à l’insu et sans le consentement de la personne implantée.

Un cyber-soldat parfait peut donc être créé. Cette technologie secrète a été employée par les forces militaires dans certains pays de l’OTAN, depuis les années 80, sans que les populations civiles et académiques aient entendu quoi que ce soit à son sujet. Donc, peu d’informations sur de tels systèmes invasifs de contrôle mental sont disponibles dans les journaux professionnels et académiques.

Les signaux de l’intelligence de la NSA peuvent surveiller à distance l’information des cerveaux humains, en décodant les potentiels évoqués (3.50hz, 5 milliwatts) émis par le cerveau. Il s’avéra que des prisonniers faisant l’objet d’expérience à Gothenburg, en Suède et à Vienne, en Autriche, eurent des lésions cérébrales. Une circulation sanguine diminuée et un manque d’oxygène dans le lobe frontal et le lobe temporal droits sont les conséquences subies aux endroits, où sont habituellement utilisés les implants cérébraux. Un sujet d’expérience finlandais a subi une atrophie cérébrale et des attaques intermittentes de perte de conscience, en raison du manque d’oxygène.

Les techniques de contrôle mental peuvent être employées à des fins politiques. Le but actuel des contrôleurs de l’esprit est d’inciter les personnes ou les groupes de personnes ciblés à agir contre leurs propres convictions et leurs propres intérêts. Des individus zombifiés peuvent même être programmés pour assassiner et n’avoir aucun souvenir de leur crime par la suite. Des exemples alarmants de ce phénomène peuvent être trouvés aux États-Unis.

Cette “guerre silencieuse” est conduite par l’armée et les agences de renseignement, contre des civils totalement ignorants des faits et contre des soldats. Depuis 1980, la stimulation électronique du cerveau (ESB) a été secrètement utilisée pour contrôler les personnes ciblées à leur insu et sans leur consentement. Tous les accords internationaux des droits de l’homme interdisent la manipulation non consentie des êtres humains — même dans les prisons, et ce, sans même parler des populations civiles. Sur l’initiative du sénateur américain John Glenn, des discussions ont débuté en janvier 1997 concernant les risques d’irradiation des populations civiles. Le ciblage des fonctions cérébrales des gens avec des champs et des faisceaux électromagnétiques (à partir d’hélicoptères, d’avions, de satellites, de camionnettes blanches en stationnement, à partir de maisons voisines, de poteaux téléphoniques, d’appareils électriques, de GSM, de la TV, de la radio, etc.), fait partie du problème de rayonnement qui devrait être abordé par les gouvernements démocratiquement élus.

En plus du contrôle mental électronique, des méthodes chimiques ont été également développées. Des drogues altérant l’esprit et différents gaz odorants affectant négativement la fonction cérébrale peuvent être injectés dans des conduits d’air ou des conduites d’eau. En outre, des bactéries et des virus ont été testés de cette manière dans plusieurs pays.

La supertechnologie d’aujourd’hui, reliant nos fonctions cérébrales par l’intermédiaire de micro-puces (ou même sans elles, selon la dernière technologie) à des ordinateurs via des satellites aux Etats-Unis ou en Israël, pose la plus grave menace pour l’humanité. Les derniers super ordinateurs sont assez puissants pour surveiller la population du monde entier. Qu’adviendra-t-il lorsque les gens tentés par de fausses promesses permettront l’insertion de puces dans leurs corps? Un leurre, parmi d’autres, sera une “carte d’identité micro-puce”. On est même allé jusqu’à proposer secrètement une législation obligatoire aux Etats-Unis, afin de criminaliser tout retrait d’un implant d’identification.

Sommes-nous prêts pour la robotisation de l’humanité et pour l’élimination totale de la vie privée, y compris la liberté de pensée? Combien d’entre nous voudraient céder leur vie entière, y compris leurs pensées les plus secrètes, à Big Brother? Pourtant, la technologie existe afin de créer un “nouvel ordre mondial” totalitaire. Les systèmes de communication neurologiques secrets sont en place pour contrecarrer la pensée indépendante et pour contrôler l’activité sociale et politique, au nom des intérêts privés et militaires égoïstes.

Quand nos fonctions cérébrales seront déjà reliées aux ordinateurs géants, au moyen d’implants radio et de micro-puces, il sera trop tard pour protester. Cette menace peut être vaincue, seulement en instruisant le public, en utilisant la littérature disponible sur la biotélémétrie, ainsi que l’information échangée, lors des congrès internationaux.

Une des raisons pour laquelle cette technologie est demeurée un secret d’état, est le prestige à grande échelle du MANUEL STATISTIQUE DE DIAGNOSTIC IV de psychiatrie produit et publié en 18 langues par l’Association Psychiatrique Américaine (APA) des Etats-Unis. Les psychiatres travaillant pour les agences de renseignement américaines ont sans aucun doute participé à la rédaction et à la mise à jour de ce manuel. Cette bible psychiatrique dissimule le développement secret des technologies de contrôle mental, en étiquetant certains de leurs effets comme étant des symptômes de la schizophrénie paranoïde.

Les victimes de l’expérimentation du contrôle mental sont donc diagnostiquées systématiquement, comme étant mentalement malades, par des médecins qui ont appris la liste de “symptômes” du manuel statistique de diagnostic à l’école de médecine. On n’a pas enseigné aux médecins que les patients peuvent tout à fait dire la vérité, lorsqu’ils rapportent leur ciblage contre leur volonté ou le fait d’être utilisés comme cobayes pour des formes électroniques, chimiques et bactériologiques de guerre psychologique.

Le temps est compté pour changer la direction de la médecine militaire, et pour assurer le futur de la liberté humaine. 

Source: http://www.raven1.net/kilde2.htm

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N°4. Versión española (traducción revisada el 30 de julio de 2010 por Rudy Andria).

IMPLANTES DE MICROCHIPS, CONTROL DE LA MENTE, Y CIBERNETICA
por la Dra. Rauni-Leena Luukanen-Kilde, Antigua Directora de los Servicios de Salud de Finlandia.

6 de Diciembre del 2000

En 1948 Norbert Weiner publicó su libro titulado “La Cibernética”, definida como una teoría del control y de la comunicación neurológica ya en uso en los pequeños círculos de la época. Yoneji Masuda, padre de la Sociedad de la Información, en 1980 expresó con preocupación que nuestra libertad está siendo amenazada, al estilo orwelliano, por la tecnología cibernética totalmente desconocida parala mayoría de la gente. Esta tecnología conecta los cerebros de las personas, mediante microchips implantados, con satélites controlados por supercomputadoras terrestres. Los primeros implantes cerebrales fueron insertados quirúrgicamente en 1974 en el estado de Ohio, EE.UU. y también en Estocolmo, Suecia. En 1946 se insertaron electrodos cerebrales en cráneos de bebés sin el conocimiento de sus padres. En las décadas de los años 50 y 60, se realizaron implantes eléctricos en cerebros de animales y seres humanos, sobre todo en EE.UU., mientras se realizaban investigaciones acerca de la modificación de conducta, y el funcionamiento cerebral y corporal.

Se utilizaron métodos para el control de la mente (CM) con el objeto de modificar la conducta y las actitudes humanas. La posibilidad de influir sobre las funciones del cerebro se volvió una meta importante para el ejército y los servicios de inteligencia. Los implantes cerebrales de hace treinta años, según las radiografías, tenían un tamaño de un centímetro. Los implantes posteriores se redujeron al tamaño de un grano de arroz. Estaban hechos de silicio, y más tarde de arseniuro de galio. En la actualidad son suficientemente pequeños para poder insertarse en el cuello o la espalda, y también de manera intravenosa en diferentes partes del cuerpo durante una cirugía, con o sin el consentimiento del paciente. Actualmente es casi imposible detectarlos o quitarlos. Resulta técnicamente posible implantar un microchip en un recién nacido, con el cual se podría identificar a la persona por el resto de su vida. Estos planes están siendo secretamente tratados en Estados Unidos sin ningún tipo de difusión pública de las cuestiones privadas involucradas.

En Suecia, el Primer Ministro Olof Palme autorizó en 1973 el implante de prisioneros, y el ex-Director General de Estadísticas, Jan Freese reveló que pacientes ambulatorios habían sido implantados a mediados de los 80. La tecnología allí empleada es revelada en el informe estatal sueco 1972:47, Statens Officiella Utradninger (SOU).
Los seres humanos implantados pueden ser rastreados en todas partes. Sus funciones mentales pueden ser monitoreadas a distancia mediante supercomputadoras e incluso se las puede alterar modificando sus frecuencias. En los experimentos secretos se han incluido, como conejillos de indias, a prisioneros, soldados, pacientes enfermos mentales, niños discapacitados, personas sordas y ciegas, homosexuales, mujeres solteras, ancianos, niños en edad escolar, y cualquier grupo de personas consideradas marginales por los experimentadores de élite. Las experiencias publicadas realizadas con reclusos en la Prisión Estatal de Utah, por ejemplo, son alarmantes. Los microchips actuales funcionan por medio de ondas de radio de baja frecuencia que permiten rastrearlos. Con la ayuda de satélites, la persona implantada puede ser localizada en cualquier parte del planeta. Dicha técnica fue, entre otras, experimentada en la guerra de Irak, según el Dr. Carl Sanders, el inventor del biochip de interfase de inteligencia controlada (“intelligence-manned interface”) e inyectado en las personas. ( Anteriormente, durante la Guerra de Vietnam, se inyectaron chips Rambo en los soldados, diseñados para aumentar el flujo de adrenalina en el torrente sanguíneo.) Las supercomputadoras de 20 mil millones de bits por segundo de la NSA (Agencia de Seguridad Nacional americana) ahora podrían ver y oir lo que los soldados experimenten en el campo de batalla mediante un Sistema de Monitoreo Remoto (SMR). Cuando se coloca un microchip de 5 micromilímetros (el diámetro de un cabello es de 50 micromilíimetros) en el nervio óptico del ojo, éste toma neuroimpulsos desde el cerebro que albergan las experiencias, olores, imágenes, y la voz de la persona implantada. Una vez transferidos y guardados en una computadora, estos neuroimpulsos pueden proyectarse nuevamente en el cerebro de la persona mediante el microchip a ser reexperimentado. Mediante el Sistema de Monitoreo Remoto, un operador de computadora desde tierra puede enviar mensajes electromagnéticos (codificados como señales) al sistema nervioso, afectando el desempeño del objetivo. De esta manera, mediante el Sistema de Monitoreo Remoto se puede inducir a personas saludables a que vean alucinaciones y oigan voces.

Cada pensamiento, reacción, sonido, y observación visual produce un determinado potencial neurológico, ondas, y patrones en el cerebro y en sus campos electromagnéticos que pueden ahora descifrarse como pensamientos, imágenes y voces. El estímulo electromagnético puede, por consiguiente, cambiar las ondas cerebrales de una persona y afectar la actividad muscular, causando calambres musculares dolorosos experimentados como una tortura. El sistema electrónico de vigilancia empleado por la Agencia de Seguridad Nacional Americana puede seguir y ocuparse simultáneamente de millones de personas. Cada uno de nosotros tiene una frecuencia de resonancia bioeléctrica única en el cerebro, del mismo modo que poseemos huellas digitales únicas. Mediante la estimulación del cerebro con frecuencia electromagnética (FEM) totalmente codificada, se pueden enviar al cerebro señales electromagnéticas, haciendo que el objetivo experimente los efectos auditivos y visuales deseados.

Ésta es una forma de guerra electrónica. Se implantaron astronautas americanos antes de ser enviados al espacio para poder captar sus pensamientos y registrar todas sus emociones las 24 horas del día. El Washington Post informó en mayo de 1995 que al Príncipe William de Gran Bretaña se le había implantado un microchip a los 12 años de edad. De modo que, si alguna vez fuera secuestrado, se le podría dirigir una onda radiofónica con una frecuencia específica a su microchip. La señal del microchip se podría enviar, mediante satélite, a la pantalla de la computadora en la central de policía desde dónde se podrían seguir los movimientos del Príncipe.

De hecho se lo podría localizar en cualquier parte del globo. Los medios de comunicación masivos no han indicado que la privacidad de una persona implantada desaparezca por el resto de su vida. Se la puede manipular de muchas maneras. Empleando frecuencias diferentes, el controlador secreto de este equipo puede incluso cambiar la vida emocional de una persona. Se lo puede volver agresivo o letárgico. Y hasta se puede influir artificialmente en su sexualidad. Se pueden leer las señales del pensamiento y el pensamiento subconsciente, se pueden afectar y hasta inducir los sueños, todo sin el conocimiento o consentimiento de la persona implantada.

De esta forma se puede crear un soldado cibernético perfecto. Esta tecnología secreta ha sido usada por las fuerzas militares en ciertos países de la NATO desde los 80 sin que las poblaciones civil y académica supieran nada al respecto. Por ello, existe poca información acerca de dichos sistemas invasivos para el control de la mente en las publicaciones profesionales y académicas. El grupo Inteligencia en Señales de la NSA puede monitorear remotamente la información proveniente de los cerebros humanos mediante la decodificación de los potenciales evocados (3.50HZ, 5 miliwatts) emitidos por el cerebro. Se ha encontrado que prisioneros usados en experimentos tanto en Gothenburg como en Suecia y Viena en Austria presentan lesiones cerebrales evidentes.

La disminución de la circulación sanguínea y la falta de oxígeno en los lóbulos frontales temporales derechos se producen en los casos en que los implantes cerebrales están usualmente funcionando. Un Finlandés empleado para un experimento presentó atrofia cerebral y ataques intermitentes de inconsciencia debido a la falta de oxígeno. Las técnicas de Control de la Mente se pueden utilizar con fines políticos. El objetivo de los controladores mentales en la actualidad es inducir a las personas o grupos tomados por objetivo a actuar contra sus propias convicciones e intereses. Incluso se pueden programar individuos zombificados para que asesinen y no recuerden nada después del crimen. Se pueden encontrar ejemplos alarmantes de este fenómeno en EE.UU. Esta guerra silenciosa está siendo conducida por agencias de inteligencia y militares contra soldados y civiles ignorantes.

Desde 1980, la estimulación electrónica del cerebro (EEC) ha sido secretamente empleada para controlar las personas tomadas por objetivo sin su conocimiento o consentimiento. Todos los acuerdos internacionales sobre los derechos humanos prohiben la manipulación no consensuada de seres humanos, incluso en las prisiones, sin mencionar a las poblaciones civiles. Bajo una iniciativa del senador americano John Glenn, en enero de 1997 se comenzaron a tratar los peligros de radiar a las poblaciones civiles. El control de las funciones cerebrales de las personas con campos y haces electromagnéticos (provenientes de helicópteros y aviones, satélites, camionetas estacionadas, casas vecinas, postes de teléfono, aparatos eléctricos, teléfonos móviles, TV, la radio, etc.) es parte del problema de la radiación que debe ser tratado en los organismos gubernamentales elegidos democráticamente. Además del control electrónico de la mente, también se han desarrollado métodos químicos. Se pueden introducir drogas que produzcan alteraciones mentales y diferentes gases inhalantes que afecten el funcionamiento cerebral de manera negativa en conductos aéreos o cañerías de agua. También se han probado de esta manera bacterias y virus en varios países.

La supertecnología de hoy, al conectar las funciones de nuestro cerebro a través de microchips (o incluso sin ellos, según la última tecnología) con las computadoras por medio de satélites en EE.UU. o Israel, constituye la amenaza más grave contra la humanidad. Las últimas supercomputadoras son suficientemente poderosas para monitorear la población del mundo entero. ¿Qué pasará cuándo las personas sean tentadas mediante premisas falsas para que permitan el implante de microchips en sus cuerpos? La trampa sería un carnet de identidad con un microchip. 

Hasta se ha propuesto secretamente una legislación obligatoria en EE.UU. para penalizar la extracción de dicho implante identificatorio. ¿Estamos listos para la robotization de humanidad y la eliminación total de la privacidad, incluida la libertad de pensamiento? ¿Cuántos de nosotros querrían ceder su vida entera, incluidos sus pensamientos más confidenciales, al Gran Hermano? Sin embargo, existe la tecnología para crear un Nuevo Orden Mundial totalitario. Existen sistemas de comunicación neurológicos encubiertos para neutralizar el pensamiento independiente y controlar la actividad social y política en nombre de intereses privados y militares propios.

Cuando nuestras funciones cerebrales ya estén conectadas a las supercomputadoras por medio de implantes de radio y microchips, será demasiado tarde para protestar. Sólo se podrá evitar esta amenaza educando al público, utilizando la literatura existente sobre biotelemetría e información obtenida en congresos internacionales.
Una de las razones por las cuales esta tecnología ha permanecido como secreto de estado es el difundido”Diagnostic Statistical Manual IV” psiquiátrico elaborado por la Asociación de Psiquiatría Americana e impreso en 18 idiomas. Los psiquiatras empleados por las agencias de inteligencia americanas sin ninguna duda participaron en la redacción y revisión de este manual. Esta biblia psiquiátrica encubre el desarrollo secreto de tecnologías para el Control de la Mente rotulando algunos de sus efectos como síntomas de esquizofrenia paranoica. De esta manera, las víctimas sometidas a experimentos relacionados al control de la mente son habitualmente diagnosticadas como enfermos mentales por médicos que se aprendieron la lista de síntomas DSM en la facultad de Medicina. No se le ha enseñado a los médicos que los pacientes pueden estar diciendo la verdad cuando refieren haber sido manipulados en contra de su voluntad o haber sido usados como conejillos de indias para formas electrónicas, químicas y bacteriológicas de guerra psicológica.

El tiempo se está agotando para cambiar la dirección de la medicina militar, y asegurar el futuro de la libertad humana. Este artículo fue originalmente publicado en la 36ta edición de la revista en idioma finlandés SPEKULA (3er trimestre, 1999).

SPEKULA (circulación 6500) es una publicación de estudiantes de medicina y médicos de la Universidad Oulu OLK (Oulun Laaketieteellinen Kilta) de Finlandia del norte. Esta es enviada por correo a todo los estudiantes de medicina de Finlandia y a todos los médicos del Finlandia del norte.