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TOUS SUR ECOUTE ET GEOLOCALISES EN FRANCE.

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Toutes les Next-up News / All Next-up News: http://www.next-up.org/Newsoftheworld/2013.php

En France, nous sommes tous sur écoute et géolocalisés. La totalité de nos communications sont espionnées et stockées par la DGSE. C’est illégal et sans contrôle.
La Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) collecte, systématiquement, en France, par 20 sites d’écoutes ROEM (Renseignement d’Origine ÉlectroMagnétique), les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs, WiFi, WiMax, les téléphones mobiles, les SMS, les emails, etc …
Des milliards de milliards de données sont compressées et stockées. En sus, La DGSE, à la tête de “la plus forte équipe de crypto-mathématiciens” de France, pénètre les systèmes informatiques et collecte évidemment des millions de données personnelles.
Sources: http://www.next-up.org/Newsoftheworld/2013.php du 09 juillet 2013.

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LIRE EGALEMENT
05/07/13:
http://www.zebulon.fr/actualites/11999-prism-espionnage-france-collecte-donnee-dgse-dcri-snowden.html

Espionnage et collecte des données en France ?

La France n’aurait aucune leçon de morale à faire aux Etats-Unis, en ces temps difficiles pour les services secrets, suite aux révélations d’espionnage généralisé diffusées par un ex-consultant de la NSA, Edward Snowden. En effet, notre pays utiliserait les mêmes méthodes d’espionnage et de collecte de données, une sorte de programme Prism à la française.

Prism espionnage france collecte-donnée DGSE DCRI Snowden

Il a été établi que la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure) collectait systématiquement tous les signaux électromagnétiques des téléphones et des ordinateurs en France sans distinction, mais également les données transitant entre la France et l’étranger. C’est donc une affaire explosive qui est en train de naître, car tous les emails, les sms, les relevés de téléphones, les historiques de navigation, les accès aux réseaux sociaux seraient espionnés et conservés précieusement, durant de longues années.

La DGSE n’est pas la seule concernée, puisqu’il apparaît que la DCRI, les douanes, des services contre le blanchiment d’argent et d’autres services, collectent ou accèdent à ces données, auxquelles même la CNIL, garante de la protection de la vie privée, n’a pas accès !

Un espionnage illégal ou en marge de la légalité…

Toutes ces méthodes d’espionnage sont en marge de la légalité et, surtout, totalement hors de tout contrôle véritable. La classe politique et la CNIL le savent parfaitement, mais comme toujours, le secret est la règle. Pourtant, ces mêmes institutions faisaient des leçons de morale à l’encontre de sociétés étrangères ne respectant pas la confidentialité des données et la protection de la vie privée, il y a peu de temps…

Les faits sont là, puisque des rapports parlementaires du gouvernement font état des moyens mis en œuvre et qui envisagent même de fournir davantage de moyens à la DGSE. Le supercalculateur capable de gérer des milliards de communications et stockant des pétaoctets de données est aussi bien réel. Il se trouve au boulevard Mortier à Paris, sur trois étages. La DGSE disposerait de la plus forte équipe de crypto-mathématiciens de France, et pénètrerait régulièrement les systèmes informatiques.

On voit, donc, là, que le respect de la loi est très largement interprété, voire contourné, sous prétexte de lutter contre le terrorisme et le blanchiment d’argent, sans qu’aucune institution n’ait véritablement le moindre contrôle sur l’utilisation de ces données.

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04/07/13 : http://www.zdnet.fr/actualites/un-prism-a-la-francaise-le-monde-revele-un-big-brother-national-39792103.htm

Un Prism à la française ? “Le Monde” révèle un Big brother national

Sécurité : Il n’y a pas que les Etats-Unis qui espionnent à tout va les communications électroniques : la France aussi. Etonnés ?

La rédaction de ZDNet.fr

Par La rédaction de ZDNet.fr | Jeudi 04 Juillet 2013

Les suites de l’affaire Prism n’en finissent plus. Après les révélations initiales, les compléments d’information permettant de mieux comprendre la situation, l’affaire de l’espionnage des ambassades et des Etats de l’Union européenne… Voici les exemples de technologies similaires à Prism développées dans d’autres pays.

Dans une enquête publiée sur son site web (accès payant, mais une version “réduite” estdisponible pour les non-abonnés), Le Monde affirme avoir pu remonter la trace du “Big brother français”. Pratiques illégales – ou “a-légales”, comme le corrige un patron d’une agence de renseignements.

Les métadonnées ciblées

Les faits sont relativement simples à comprendre : “Le Monde est en mesure de révéler que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux) collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l’étranger.”

Toutes les communications électroniques, en somme. Il s’agit d’un archivage automatique et systématique des emails, SMS, relevés d’appels, accès aux services en ligne, etc, affirme le Monde. Et comme pour Prism, le chiffrement n’y fait rien, puisque ce sont les métadonnées qui intéresse les 007 français.

Surtout, ajoute le quotidien du soir, il ne s’agit pas que de l’exploitation de données lié au contre-espionnage – rôle de la DGSE. La DCRI (renseignement intérieur), les services de douanes, Tracfin et d’autres utilisent les informations collectées, avec un cadre de contrôle visiblement très lâche.

Un ancien patron des services de renseignement précise même que depuis des années, “nous sommes dans l’autorisation virtuelle”. Flou juridique autour de la métadonnée, absence de contrôle possible de la CNIL sur les fichiers des agences, inexistence du cadre légal… Tout est fait pour entretenir le flou autour des fichiers.

Terrorisme, blanchiment… et espionnage de personnalités ? 

Ces derniers seraient stockés dans les sous-sols de la DGSE, sur le boulevard Mortier à Paris. Trois étages seraient nécessaires pour héberger les serveurs contenant les données. Il faut dire que le volume est nécessaire, puisque le Monde affirme que les informations collectées sont conservées durant plusieurs années.

Les métadonnées conservées permettent ainsi de dresser des cartographies de liens entre les gens appartenant à une organisation. But officiel : la lutte contre les groupuscules terroristes, évidemment, dont les actions seraient déjouées par ce Prism à la française grâce à la révélation des liens virtuels entre les cibles.

Sauf qu’outre le terrorisme et les enquêtes de Tracfin, des douanes, etc, “le libellé très flou de la protection de la sécurité nationale permet notamment d’identifier les entourages de personnalités au plus haut niveau de l’Etat”, affirme Le Monde. Les révélations du journal risquent d’alimenter rumeurs, fantasmes et réactions dans les prochains jours. Quant à une éventuelle réglementation…

 

Written by rudy2

July 9, 2013 at 22:37

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