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TEMOIGNAGE DE LEOPOLDO RIDRUEJO MIRANDA D’ESPAGNE / VICTIME DU GANGSTALKING

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TEMOIGNAGE DE LEOPOLDO RIDRUEJO MIRANDA D’ESPAGNE / VICTIME DU GANGSTALKING.
Traduit de l’espagnol par Rudy Andria
 
“Association Indépendante contre l’utilisation criminelle de technologie militaire de contrôle mental via satellite et autre, pour manipuler des citoyens innocents et perpétrer divers crimes”.
http://www.diariocritico.com/2007/Abril/nacional/17084/comisario-policia-eta-11m-diaz-de-mera.html
13-09-2008

Leopoldo Ridruejo Miranda  vit en tant que réfugié à Lisbonne, car il a été victime de gangstalking perpétré par la Unidad Central de Apoyo Operativa (UCAO), qui fait tout pour que le monde ne sache pas qu’ il a été témoin d’une rencontre entre  Zougam, “El Chino” et Ghalyoun à Madrid, au début de l’été 2003. (Note du traducteur: Zougam, El Chino et Ghalyoun sont impliqués dans l’attentat du 11 mars 2004 à Madrid).
Les criminels de l’UCAO avec son commissaire politique à sa tête, employent des pratiques noires de surveillance et de harcèlement, propres aux pays sans état de droit. Bientôt ces dirigeants criminels devront rendre compte de leurs crimes devant la justice. Garcia Castano, ainsi que d’autres dirigeants du Ministère de l’Intérieur doivent savoir que, tôt ou tard, ils devront rendre des comptes devant un tribunal.

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http://leopoldoridruejomiranda-leopoldo45.blogspot.com/

12 Janvier 2009

En Espagne, après les massacres du 11 Mars 2004, le Centro Nacional de Inteligencia (CNI) utilise régulièrement le gangstalking. Il utilise pour cela des milliers de citoyens de toutes les classes sociales et professionnelles, qui ont eu un rôle ou un statut d’indics ou d’informateurs, soit parce qu’ils ont été manipulés soit parce qu’ils ont reçu des menaces. Souvent, quand le CNI souhaite qu’une personne fasse partie de ce réseau d’indicateurs et qu’elle collabore avec leur institution, il déclenche la situation appropriée, pour que cette personne, de façon consciente ou inconsciente,  commette un délit mineur. Ensuite, elle devra simplement choisir entre une collaboration avec le CNI ou un procès légal ou la prison. Dans l’immense majorité des cas, il existe une menace plus ou moins cachée derrière l’incorporation d’une personne à ce réseau d’indicateurs. Ce à quoi ces nouveaux indicateurs ne pourront jamais penser, c’est qu’en plusieurs occasions, ils vont se trouver obligés de faire du mal à des personnes innocentes, qui se sont vues incorporées dans un réseau mafieux, dont elles ne pourront jamais s’échapper. Elles seront contraintes de subir constamment le contrôle de toutes leurs activités privées et de celles de leurs familles. C’est le prix qu’elles devront payer, pour ne pas subir de représailles.

Je peux certifier qu’actuellement la société espagnole est totalement infiltrée par ce réseau d’indicateurs. On a créé une situation de société auto-surveillée , à l’instar des sociétés des pays du rideau de fer. Plusieurs de ces informateurs sont d’anciens détenus, des gens qui ont eu affaire avec la justice ou qui ont été incarcérés. Il s’agit d’individus prêts à vendre leur propre mère, à mentir et à causer du tort à n’importe quelle personne, y compris des amis et des parents, pour rester libres de toutes représailles.
J’atteste que le CNI oblige des milliers d’Espagnols à sombrer dans la plus grande misère morale. Ces gens se laissent sombrer dans cette misère, pour pouvoir maintenir leur poste de travail et leur statut social et pour que eux-mêmes et leurs parents soient respectés. Il en ressort que nos services secrets sont devenus le principal agent de déstabilisation de notre société démocratique. Les conséquences sociologiques de ce système sont imprévisibles. Les gens se rendent compte qu’ils se sont imposés un système corrompu, auquel ils doivent s’en tenir. Ils doivent vendre leur âme au diable, s’ils tiennent à avoir une garantie de prospérité et de protection.
Pourquoi utilise-t-on ce réseau de citoyens intimidés et terrorisés ? Entre autres choses, pour harceler illégalement donc criminellement des victimes innocentes avec des techniques de gangstalking. Il ne faut pas oublier que nous vivons depuis 2004 dans une situation politique et sociale non résolue: le coup d’état du 11 Mars 2004. Une énorme machinerie répressive a dû se mettre en marche pour cacher ce coup d’état. Et cette répression a été mise en application, principalement par le développement de ce réseau d’indicateurs civils qui infiltre toutes les institutions et les activités de notre société. Je me réfère fondamentalement à la justice, aux médias, aux divers corps de police et à la politique.
 
Il est extrêmement facile pour le CNI de séquestrer un homme politique ou un haut fonctionnaire de justice pour le dompter,l’apprivoiser et l’asservir et pour qu’il se rallie à cette armée d’individus qui subissent du chantage. Par exemple, si l’objectif est placé chez un homme politique local, tout sera fait pour que sa secrétaire personnelle devienne une informatrice. Si cette secrétaire, de prime abord, ne présente  aucun défaut ni faiblesse, les criminels examineront le profil de ses enfants et de sa famille. Par exemple, un fils universitaire pas très bon dans ses études et qui fume de temps en temps un joint. Par l’intermédiaire d’un indicateur de l’université, ils feront tout pour que le jeune commette un délit mineur. Par exemple, un délit en rapport avec la possession de drogue. Ils fabriqueront n’importe quel délit, pour pouvoir rencontrer immédiatement sa mère, la secrétaire du politicien, et pour l’obliger à s’intégrer comme informatrice. Une fois cette démarche accomplie, il sera très facile d’approcher le personnage politique et de préparer les conditions adéquates pour trouver un moyen de le compromettre et le contraindre à devenir aussi un informateur. À partir de ce moment-là, ces personnes deviendront des “possessions” du CNI. Elles ne sont plus libres, elles achètent leur sécurité en échange de leur liberté. A tout moment, on peut leur exiger qu’elles fassent n’importe quel acte de corruption, moralement condamnable ou délictueux, comme par exemple abattre une personne de leur entourage.
Plusieurs des informateurs ne sont au courant de rien, puisque ils n’ont pas été informés des finalités criminelles des actions que le CNI leur demande d’accomplir. Tout est dissimulé derrière une prétendue investigation ou derrière une action pour le bien de la sécurité de l’État, pour neutraliser une personne jugée indésirable et qui, selon les allégations du CNI, aurait commis de graves crimes ou des actions immorales.
Le CNI est devenu actuellement un ennemi de l’État,un agent déstabilisateur de la société libre et démocratique. Le principal problème qui se pose est que le CNI ne peut pas se blanchir, en neutralisant ces délinquants qui occupent de hauts postes dans son organigramme.
L’unique but de ce système corrompu est de maintenir au pouvoir les putschistes, d’une part,en neutralisant par des techniques secrètes de torture psychologique les personnes estimées indésirables, et d’autre part, en asservissant le système judiciaire .

Written by rudy2

November 26, 2010 at 03:33

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